Courrier du n°3581 du 27 septembre 2023
De Maurice BOURHIS :
IMMIGRATION : BONS SENTIMENTS ET CONTRAINTE DE LA RÉALITÉ
Une fois de plus, lors d’un déplacement spécifiquement voulu et organisé les 22 et 23 septembre 2023 à Marseille, « ville de cœur » du président de la République, Bergoglio-François s’est lancé dans ses habituelles remontrances concernant la situation des migrants en Méditerranée. Il a notamment déclaré que « nous ne pouvons plus assister aux tragédies des naufrages provoqués par des trafics odieux et le fanatisme de l’indifférencec, ajoutant que « les personnes qui risquent de se noyer lorsqu’elles sont abandonnées sur les flots doivent être secourues ». Certes, mais au-delà des compréhensibles réactions émotionnelles, n’est-il pas urgent de considérer objectivement les choses ? En rappelant tout d’abord que les pays européens, loin d’être indifférents, ont accueilli des immigrés par centaines de milliers au cours des années passées. En réfléchissant ensuite aux mesures à prendre pour éviter les drames. Ainsi ne devrait-on pas étudier la mise en oeuvre d’un blocus naval près des côtes arabo-africaines pour contrarier les départs, en concertation avec les dirigeants des pays riverains ? Dans l’immédiat, on pourrait exiger de nos gouvernants qu’ils décident de :
— rétablir les contrôles aux frontières dans le cadre d’un strict moratoire sur les entrées, avec refus d’admission, sauf en cas de droit d’asile dûment constaté et reconnu au vu de dossiers à présenter dans nos “représentations” dans les pays d’origine ;
— cesser de subventionner les associations humanitaires se comportant en véritables complices des passeurs et profiteurs de ce qui constitue de fait une nouvelle traite d’êtres humains ;
— allouer ces subventions en complément des aides déjà versées pour le développement des pays concernés. Aides qui devraient être obligatoirement conditionnées à ce que les dirigeants, en particulier africains, prennent toutes les dispositions nécessaires pour réguler l’accroissement démentiel de leurs populations. Cela pour favoriser un essor et une modernisation de nature à les faire vivre décemment chez elles. Quant aux “immigrationnistes” et à ceux qui tiennent à faire montre de charité, rien ne les empêche de s’engager sur leurs propres deniers, à l’instar du « Bon Samaritain » de l’Evangile, pour ne pas accroître la charge de la collectivité nationale qu’une monstrueuse dette publique met déjà en péril. Tout en se rappelant qu’outre les problèmes liés aux difficultés d’intégration résultant de différences culturelles indéniables, beaucoup d’immigrés devront accepter les travaux les moins gratifiants, les plus pénibles et mal payés (parfois à la merci de lamentables exploiteurs), que d’autres iront grossir les rangs déjà fournis des sans-emploi dépendant des aides sociales et qu’enfin d’autres encore risquent de tomber dans la criminalité et la délinquance, la prostitution ou la drogue… Triste fin loin des rêves originels.
De François THOUVENIN :
QUESTION D’ODORAT
— Vous de l’extrême droite, racistes et cathos, Coutumiers des outrances, nervis sots et brutaux, Porteurs de croix gammées, fascistes furibonds, Vos idées et vos dires sont très… nauséabonds ! — Et c’est tout ? Mais…
Ah non, c’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire… Oh ! Dieu ! Bien des choses, en somme… Le lexique français, châtié ou argotique Possède une richesse quasi astronomique, et pour représenter les œuvres et les pompes De votre gauche extrême qui sans cesse nous trompe, les mots ne manquent point, je vous prie de le croire. Tenez, parlons un peu de vos chers avortoirs : dirait-on pas qu’en fait de puanteur extrême, Ils empoisonnent l’air et la mésosphère même ? Votre pornographie, vos blasphèmes infâmes Ne cocottent-ils point à nous faire rendre l’âme ? Vos démonstrations de débauche et de vice Ne puent-elles autant qu’un monceau d’immondices ?
La démence genriste empeste jusqu’aux cieux, Qui pourraient bien, du reste, devenir ombrageux… N’a-t-on pas la nausée quand se met à chlinguer la fierté imbécile d’êtres tristement gais ? Le “mariage pour tous” n’emboucane-t-il point ? Les crimes pédophiles n’empuantissent-ils point ? Vous nous prêtez la haine, et fort gratuitement ; elle daube, la vôtre, jusques au firmament.
Nos voyous impunis cognent des deux façons, mais ils sont bien utiles au pouvoir, ces garçons, et les politicards, dont l’haleine tant coince, empêchent la police de leur passer les pinces. Devant ces violences, incendies et ravages, nous autres n’avons plus que les larmes et la rage. Gauchistes, profitez de ces temps favorables, car monte une colère, brûlante, inexorable Qui viendra balayer les remugles odieux De ce monde maudit pour avoir chassé Dieu.
De Nicolas P. :
REMERCIEMENTS
J’ai découvert RIVAROL au début de la fameuse “pandémie” de covid. Ma femme et moi-même avions un étrange sentiment vis-à-vis de ce qui se disait sur les médias “autorisés” par le régime en place. Nous avons alors commencé à chercher d’autres sources d’information, mais, étant de nature méfiante, nous n’arrivions pas à faire confiance aux différents articles piochés ici ou là sur internet.
Nous avons la chance d’avoir une connaissance qui était déjà éveillée sur de nombreux sujets que vous évoquez dans votre journal. Nous avons alors commencé à écouter les Podcasts d’un certain Gandalf et notre vision du monde a drastiquement changé. Nous avons découvert que nous n’étions pas seuls à avoir des pensées divergentes à ce qu’on nous imposait de toute part dans les médias mainstream. Notre vision et notre compréhension du monde dans lequel nous évoluons ont totalement changé. De fil en aiguille, nous nous sommes intéressés au combat nationaliste indispensable à la survie de notre pays, aux travaux de ce héros qu’est Vincent Reynouard et par la suite, à votre journal providentiel auquel nous nous sommes abonnés depuis le début de l’année.
Je regrette de n’avoir eu connaissance de cette source d’informations essentielle (que j’attends avec impatience désormais chaque semaine) si tardivement. En somme, je tenais à vous écrire ces quelques lignes (bien que l’écriture soit pour moi un exercice auquel je ne m’adonne que rarement) pour vous remercier du travail que vous réalisez depuis tant d’années, travail essentiel pour le peuple français. J’admire votre dévouement pour la vérité, malgré tout ce qui est mis en œuvre par nos ennemis pour vous faire taire, vous gardez le cap du navire dans la tempête.
Je suis à votre disposition pour apporter mon aide à la cause .
En vous remerciant encore pour tout ce que vous faites au nom de la vérité, je vous adresse mes sentiments les plus sincères.
Que Dieu vous garde !