Rivarol n°3455 du 20/1/2021
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Rivarol n°3455 du 20/1/2021 (Papier)

Editorial

Les limites et faiblesses du populisme

Lorsque ce numéro paraîtra, Donald Trump sera sur le point de quitter la Maison-Blanche. Ce n’était pas le scénario qu’il avait espéré et jusqu’au bout il a cru, ou semblé croire, que le résultat des élections présidentielles du 3 novembre pourrait être inversé par la justice américaine. C’était de sa part une étonnante naïveté. Le Système qui l’a toléré pendant quatre ans du fait des innombrables services qu’il a rendus à l’entité sioniste (il a dans les faits donné les clés de la Maison-Blanche à Netanyahou pendant son mandat) a décidé de s’en débarrasser désormais pour laisser la place à Joe Biden qui laissera la révolution arc-en-ciel se donner libre cours. Lors des derniers jours de la présidence de Trump, le 15 janvier, le Pentagone a intégré l’entité sioniste dans son commandement central pour le Moyen-Orient, afin d’isoler encore davantage Téhéran. « L’apaisement des tensions entre Israël et ses voisins arabes, grâce aux accords d’Abraham, offre aux Etats-Unis une occasion stratégique pour rassembler des partenaires clés contre des menaces communes au Moyen-Orient », a justifié le ministère américain de la Défense dans un communiqué. 

Les accords dits d’Abraham portent sur une normalisation des relations entre des pays arabes et Israël. Tour à tour les Emirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc, sous la pression directe de l’administration Trump, ont ainsi normalisé leurs relations avec l’entité sioniste. Les Etats-Unis étaient représentés dans ces discussions par Jared Kushner, gendre juif et conseiller du président Donald Trump dont la fille Ivanka s’est convertie au judaïsme pour pouvoir épouser Kushner. Même le magazine Gala explique qu’il ne s’agissait en rien d’un mariage d’amour mais d’une union d’intérêts. Le Pentagone a estimé que ses rapports militaires avec Israël pouvaient désormais être gérés par la branche moyen-orientale du Commandement central (Centcom) et non plus par la direction européenne du Centcom. Ce n’(est pas là une évolution mineure. La diplomatie de Washington sous Donald Trump est parvenue à briser le consensus arabe selon lequel aucune entente n’est possible avec l’Etat hébreu sans résolution préalable du conflit israélo-palestinien. Cette étape franchie permet à Washington de consolider son alliance avec les pays arabes sunnites contre l’Iran, ce pays étant vu par Tel Aviv, et donc par Washington, comme la principale menace à la stabilité régionale. 

On peut être sûr que Joe Biden poursuivra sur l’essentiel la politique, sur ce point détestable, de Trump à l’égard de l’entité sioniste et de l’Iran, en revanche il liquidera tous les aspects plutôt positifs du bilan de son prédécesseur en matière de baisse de la pression fiscale, de mesures en faveur de la famille et de la vie, de sain protectionnisme, de lutte contre l’immigration. N’oublions pas que Biden, pendant la campagne présidentielle, a posé le genou à terre pour demander pardon aux Noirs pour le mauvais comportement supposé des Blancs à leur égard. Et commentant la prise symbolique et temporaire du Capitole par certains partisans galvanisés de Trump, il avait osé déclarer que s’il s’était agi de manifestants Black Lives Matter, que visiblement il chérit et soutient, ils auraient été réprimés bien plus sévèrement. Cette assertion est fausse puisque cet assaut du Capitole a coûté la vie à quatre manifestants, dont une jeune femme désarmée, réserviste de l’armée de l’air et tirée à bout portant par la police, mais elle indique quel est l’état d’esprit et quelles seront les priorités du nouveau président. Il ne fait aucun doute que Biden, simple marionnette de l’Etat profond, profondément corrompu et donc docile, dénué de tout charisme et de tout talent, mènera une politique favorable aux minorités ethniques et sexuelles, à la révolution dite antiraciste et LGBTiste, climatiste et globaliste, et que les Blancs américains ont du souci à se faire tant ils seront la cible des politiques et des mesures de l’administration Biden. Laquelle fera tout son possible pour rendre inéligible à vie Trump afin qu’il ne puisse pas à nouveau triompher dans les urnes, porté par la colère populaire.

On voit dans ces événements outre-Atlantique les limites et les faiblesses du populisme qui ne parvient pas dans la durée et en profondeur à résister au rouleau compresseur mondialiste et à la politique de submersion, de subversion et d’anéantissement de l’Occident blanc et historiquement chrétien. On a même le sentiment que le combat devient de plus en plus difficile. Un nationaliste français authentique qui voudrait ainsi se lancer en politique et proposer une véritable alternative au pays se heurte à des obstacles infranchissables : la barrière médiatique (ne sont invités et promus dans les media audiovisuels que des personnalités ayant fait allégeance à l’entité sioniste, à la législation abortive, homosexualiste et anti-révisionniste), la purge des réseaux sociaux (de sorte qu’Internet qui était un espace de liberté depuis une quinzaine d’années est désormais sous le contrôle idéologique des GAFAM, d’où la censure de plus en plus systématique des contenus et comptes authentiquement dissidents), la barre inatteignable des 500 signatures pour pouvoir concourir à la magistrature suprême, le manque de moyens matériels (l’argent est le nerf de la guerre et sans le soutien d’un parti financé publiquement et existant médiatiquement aucun candidat non promu par le Système ne peut percer actuellement).

Même Trump, qui a pourtant fait le jeu de l’entité sioniste, plus qu’aucun de ses prédécesseurs, a été diabolisé parce qu’il défendait sur certains points, sans doute plus d’ailleurs par électoralisme que par conviction profonde, des positions clairement de droite et de bon sens. Et la diabolisation fait feu de tout bois. On a ainsi reproché à Trump de ne pas vouloir permettre au processus électoral d’aller à son terme, en dénonçant « les fraudes et les votes illégaux » mais, que l’on sache, en Algérie, en 1992, le Système n’a pas reproché au FLN d’annuler le second tour des élections législatives qui allaient voir la victoire triomphale du FIS, le Front islamique du salut, au nom de la nécessaire sauvegarde de la démocratie. Et lors de la quinzaine de la haine en 2002, l’Etablissement s’est bien gardé de respecter le pluralisme et l’égalité de traitement entre les deux finalistes de la présidentielle, là encore au nom de la Démocratie et de la République en danger. 

On a aussi insisté pour que tous les votes soient comptés à la présidentielle américaine. Mais que l’on sache en Nouvelle-Calédonie le corps électoral a été restreint de manière scandaleuse au profit des Kanaks, interdisant à des Français installés sur le territoire après 1993 de voter. Et cette mesure vexatoire a été validée par le Conseil constitutionnel. De toute façon, lorsqu’un gouvernement entend faire adopter une mesure de droite, ce qui est fort rare, le Conseil d’Etat la rejette ou le Conseil constitutionnel la censure. On l’a vu lorsque le gouvernement de Raymond Barre a voulu restreindre le regroupement familial en faveur des immigrés, la plus haute juridiction dans l’ordre administratif s’y est opposé. Les conséquences ont été funestes. De même le Conseil constitutionnel, surtout depuis la présidence de Robert Badinter, a systématiquement censuré ou réduit quasiment à néant les mesures de limitation de l’immigration de masse ou de défense de l’école libre.

La démarche de dédiabolisation, telle que mise en œuvre par Marine Le Pen, qui fêtait ce 16 janvier ses dix ans à la présidence du Front national, devenu par sa volonté Rassemblement national depuis le 1er juin 2018, n’a pas non plus obtenu les fruits escomptés. Non seulement elle a démotivé beaucoup de cadres et de militants, tuant l’enthousiasme et décourageant les bonnes volontés, de sorte que l’implantation militante du mouvement est désormais très faible, comme en a témoigné le résultat assez catastrophique du RN aux dernières municipales, en dehors de quelques rares réussites locales en trompe-l’œil, mais de plus elle n’a pas suffi à convaincre jusque-là une majorité d’électeurs de voter pour le RN et sa présidente. L’échec s’ajoute donc à une forme de trahison.

C’est dire la difficulté aujourd’hui d’inverser le cours des choses. Le mal est si profond, si étendu. Mais si l’on veut tenter de renverser la table, s’il n’est pas déjà trop tard, cela ne peut se faire qu’en disant toute la vérité, en restant fidèle à la doctrine et aux principes nationalistes et catholiques, en dénonçant le mal, le mensonge, le laid, le faux et en promouvant le beau, le bien, le vrai. Il n’est pas d’autre issue, d’autre chemin. Le reste n’est qu’illusions fugaces, espoirs fallacieux, tromperies manifestes.

Jérôme BOURBON, RIVAROL.

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Billet hebdomadaire

Vaccination et médecine juive

Le 8 janvier 2021, la Commission européenne a commandé, avec l’argent du contribuable, notamment français, 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech. Au total, l’Union européenne a commandé 600 millions de doses de ce vaccin dont l’efficacité est loin d’être prouvée. « Nous avons désormais sécurisé l’achat de suffisamment de doses pour vacciner 380 millions d’Européens, soit 80 % de la population, et d’autres vaccins vont suivre dans les semaines et mois à venir », s’est réjouie Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission.

DES VACCINS DOUTEUX

Le journal Le Monde rapporte que « les contrats qu’ont négociés, en amont, l’exécutif bruxellois et les Vingt-Sept avec les laboratoires ont été relativement longs à finaliser. Notamment parce qu’ils prévoient, si les vaccins doivent poser problème, un partage des responsabilités juridiques entre Etats et laboratoires, quand, aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni, seuls les Etats sont tenus responsables. »

En clair, s’il s’avère que ces vaccins sont des poisons, les laboratoires pharmaceutiques qui nous les ont refourgués ne seront pas tenus responsables juridiquement. Pourquoi inclure une telle clause dans le contrat si les vaccins en questions sont sans danger ?

Le vaccin en question est une technologie nouvelle, non éprouvée : l’ARN messager. D’après le professeur Christian Perronne, il s’agit d’une thérapie génique, impliquant l’éventuelle modification de notre ADN.

D’ailleurs, le « Monsieur Vaccins » du gouvernement français, chargé de communiquer sur la campagne de vaccination, Alain Fisher, s’est montré extrêmement prudent quand il s’est exprimé à la télévision devant les Français. Il a préconisé une campagne qui doit « commencer prudemment » et a évoqué « de petites marges d’incertitudes » sur les effets indésirables du vaccin.

Fisher était manifestement bien informé, puisqu’on apprenait, le 15 janvier 2021, via le media norvégien Norway Today et CNEWS, que : « l’Agence norvégienne du médicament a fait état de 13 décès qui seraient liés aux effets secondaires du vaccin Pfizer contre le coronavirus… Au total, 23 décès ont été recensés dans le cadre de la vaccination contre le Covid-19 en Norvège, et jusqu’à présent, 13 d’entre eux ont été analysés »

« Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, peuvent avoir entraîné la mort de certains patients fragiles », a noté le médecin en chef de l’Agence norvégienne du médicament Sigurd Hortemo.

L’Institut national de la santé publique norvégien a mis à jour le guide de vaccination contre le coronavirus avec de nouveaux conseils sur la vaccination des personnes âgées fragiles. Steinar Madsen, membre de l’Agence norvégienne du médicament, a déclaré, lors d’une interview donnée le jeudi 14 janvier 2021 : « Si vous êtes fragile, vous ne devriez probablement pas être vacciné. »

Dans un communiqué, cité par Bloomberg, Pfizer assure que le « nombre d’incidents n’est pas alarmant, conformément aux attentes. »

Pfizer nous dit tranquillement qu’il s’attendait à ce que son vaccin provoquât des morts.

Aux Etats-Unis, les autorités ont recensé 21 cas de réactions allergiques sévères entre le 14 et le 21 décembre, rapporte Bloomberg.

L’ÉTHIQUE DE LA MÉDECINE JUIVE

L’on comprend mieux pourquoi le Président directeur général de Pfizer, Albert Bourla, préfère ne pas s’injecter son vaccin. Il a ainsi déclaré sur CNBC le 14 décembre 2020 que les dirigeants de Pfizer attendront leur tour pour se faire vacciner : « Dès que je le pourrai, je le ferai, mais je ne veux pas que les dirigeants passent devant les autres. J’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc il n’est pas recommandé que mon groupe se fasse vacciner maintenant. »

C’est là une belle éthique qui doit lui venir de sa religion. Albert Bourla, juif, fils de « survivants de la Shoah », a allumé les bougies de Hanoukka lors d’une cérémonie virtuelle organisée par l’ambassade d’Israël à Washington, comme le rapporte fièrement The times of Israël.

L’analyse de l’éthique médicale dans le judaïsme permet de comprendre l’implication de nombreuses personnalités juives dans des scandales sanitaires (Laurent Fabius, Agnès Buzyn, Jérôme Salomon…).

Maïmonide, illustre rabbin et médecin, autorité théologico-juridique jusqu’à nos jours, écrira qu’il est « interdit de guérir un goy même contre paiement… cependant si vous le craignez, ou que vous redoutiez son hostilité, soignez-le contre paiement, mais il est interdit de le faire sans rétribution »

À la suite de Maïmonide, les autres œuvres faisant autorité reprendront sa doctrine, notamment au XIVe siècle, dans l’Arba’ah Turim, ainsi que dans le Beït Iosef et le Shulhan ‘Arukh de Joseph Caro. 

Citant Maïmonide, le Beït Iosef ajoute : « Et il est permis de faire l’essai d’un remède sur un païen, si cela sert à quelque chose », principe que reprend aussi le célèbre rabbin Moses Isserles. 

Et n’est-ce pas ce que nous vivons actuellement ? N’est-ce pas ce que proposaient, sur LCI, deux médecins juifs le 1er avril 2020 ? 

« Jean-Paul Mira, chef de la réanimation à l’hôpital Cochin, à Paris, dialogue avec Camille Locht, directeur de recherche à l’Inserm. Les deux hommes discutent des études qui pourraient être lancées pour vérifier l’efficacité du vaccin du BCG contre le coronavirus », rapportait Le Parisien (le 3 avril 2020).

En plateau, Jean-Paul Mira lance : « Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation, un peu comme c’est fait d’ailleurs sur certaines études avec le sida, ou chez les prostituées : on essaie des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées. Qu’est-ce que vous en pensez ? »

« Vous avez raison », lui répond le Professeur Locht, avant d’ajouter : « on est d’ailleurs en train de réfléchir en parallèle à une étude en Afrique avec le même type d’approche, ça n’empêche pas qu’on puisse réfléchir en parallèle à une étude en Europe et en Australie. »

DES COUPABLES COMMUNAUTARISTES SYSTÉMATIQUEMENT PROTÉGÉS

Outre ces faits, on peut aussi s’interroger sur l’impunité de ces individus. Nous avons récemment appris que l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui est visée par des poursuites judiciaires sur sa gestion de la crise sanitaire, a quitté la France pour la Suisse et a été embauchée par l’Organisation mondiale de la Santé, l’OMS.

Rappelons que le mari d’Agnès Buzyn, Yves Lévy, dirigeait l’Institut national de la santé (du 12 juin 2014 au 13 octobre 2018), alors que sa femme occupait le poste de ministre de la Santé (du 17 mai 2017 au 16 février 2020). On apprenait, dans un article du journal Marianne en date du 11 octobre 2017 et titré « Conflit d’intérêts : cette décision de la ministre Agnès Buzyn qui a bien fait les affaires de son mari », que le 2 octobre 2017, Agnès Buzyn et Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur, avaient annoncé le report d’un appel à projet pour créer de nouveaux instituts hospitalo-universitaires (IHU), en précisant que ceux-ci devront « proposer une gouvernance sans fondation support ». Or, souligne Marianne, cette demande administrative s’inscrivait dans une lutte d’influence à laquelle l’Inserm était partie prenante. « Les deux ministres ont simplement fait droit à une demande… d’Yves Lévy, mari d’une des deux signataires. »

Cette situation étant embarrassante pour le gouvernement et Madame Buzyn, Yves Lévy a retiré sa candidature à un second mandat à la tête de l’Inserm. Il quitte la présidence de l’Inserm (il est remplacé le 2 janvier par un coreligionnaire, Gilles Bloch) en octobre 2018, et il est immédiatement parachuté au poste de conseiller juridique d’Etat extraordinaire. À ce titre il est rémunéré entre 1500 et 6100 euros net par mois pendant cinq ans, alors qu’il n’a jamais pratiqué le droit public.

Quant à Jérôme Salomon, un autre membre du peuple élu, directeur général de la Santé, mis en cause par la commission d’enquête du Sénat en décembre 2020 sur sa gestion de la pandémie, il avait déjà connu d’autres problèmes alors qu’il travaillait à l’institut Pasteur. Le Parisien révèle :

« Nous sommes en mesure de révéler qu’en octobre 2012, cette figure scientifique et médiatique de la pandémie a été licenciée dans des conditions troubles par l’institut Pasteur alors qu’il y occupait le poste de responsable de la division internationale. À l’époque, Jérôme Salomon est officiellement licencié pour « cause réelle et sérieuse » — un motif non lié à une faute ou à une insuffisance professionnelle — en raison d’un cumul de fonction après la récente nomination de celui-ci comme professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)…

En réalité, selon nos informations, le départ brutal du futur directeur général de la Santé est lié à une raison moins avouable : l’envoi supposé d’une lettre anonyme dactylographiée… Le courrier que nous avons pu consulter, posté le 22 septembre 2012, apparaît comme un cri de désespoir lancé par un salarié qui serait en fonction au « service support » de Pasteur. La victime supposée se dit victime de harcèlement sexuel, de corruption et de menace de mort de la part du dirigeant. L’auteur dénonce des faits de pédophilie, de zoophilie et de sadomasochisme… »

Finalement, deux salariés connaissant intimement Jérôme Salomon l’identifient comme l’auteur de cette lettre anonyme et calomnieuse. Malgré cette affaire sordide, Salomon intègre en 2014 le cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine, en charge de la sécurité sanitaire, et sera nommé dans une Unité mixte de recherche CNAM-institut Pasteur. Et il termine directeur général de la Santé.

Voilà les individus en charge de notre santé. Il y a de quoi trembler…

Jean TERRIEN.