Rivarol n°3564 du 3/5/2023
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Editorial

François Léotard (1942-2023) : le triste symbole d’une droite couchée et reniée

LA PRESSE A PEU PARLÉ de sa disparition parce qu’il avait quitté la politique française depuis de longues années, ne jouait plus aucun rôle et n’était pas connu des plus jeunes générations mais la mort, à l’âge de 81 ans, le 25 avril dernier de l’ancien ministre et ex-maire de Fréjus François Léotard (1942-2023) dont les obsèques sont célébrées ce mercredi 3 mai, est pour nous l’occasion de revenir quelque peu sur l’itinéraire de ce politicien malfaisant, car il est le symbole par excellence d’une droite complexée, couchée et reniée, que nous ne subissons que trop depuis des décennies. Léotard avait pourtant été élevé dans son enfance et sa jeunesse dans le culte de Charles Maurras et dans la religion catholique au sein d’une fratrie de sept enfants, son père ayant été un fervent monarchiste et un homme de droite revendiqué et il a pourtant fini par soutenir en 2022 la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron — qui lui a rendu, à l’annonce de son décès, un hommage dithyrambique —, point final d’un glissement permanent et pathétique vers la gauche et le politiquement correct. Pourtant, François Léotard avait même été tenté un moment par la vie religieuse dans sa jeunesse puisqu’il entra le 3 octobre 1963 à l’abbaye bénédictine de la Pierre-Qui-Vire que son père connaissait bien. Il quitte toutefois la communauté au bout de quelques mois.
Profondément anti-socialiste et anti-dirigiste, François Léotard connaît politiquement et médiatiquement son heure de gloire dans les années 1980. Il est alors le sémillant président du Parti républicain regroupant en son sein des quadragénaires dynamiques et ambitieux (les media les appelle alors « la bande à Léo ») avec notamment Alain Madelin et Gérard Longuet qui, eux aussi, n’auront finalement pas eu une carrière aussi longue et exceptionnelle que ce qu’ils avaient espéré. Auparavant Léotard a été, sous Giscard, un des principaux membres du cabinet du ministre de l’Intérieur Michel Poniatowski, qui ne passait pas pour être un centriste mou et qui, jusqu’à sa mort, défendra, presque seul contre tous au sein de sa famille politique, le principe de l’alliance entre la droite libérale et le Front national contre la gauche.

TOUTEFOIS, comme la quasi-totalité des dirigeants dits de droite, Léotard, par carriérisme, par pusillanimité, par manque de caractère et de convictions, est sensible au terrorisme intellectuel de la gauche. Et plus il fera carrière, plus il en rajoutera, au fil des années, dans la soumission honteuse au politiquement correct. Ministre de la Culture dans le gouvernement Chirac sous la première cohabitation, de 1986 à 1988, il ne rompt nullement avec les orientations de son prédécesseur Jack Lang, n’entend pas indisposer les milieux “cultureux” de gauche et ne s’oppose pas notamment à l’édification des détestables colonnes de Buren qui défigurent le Palais-Royal. Redevenu ministre de la Défense dans le gouvernement Balladur, de 1993 à 1995, lors d’une deuxième cohabitation avec François Mitterrand, il profite de ce maroquin pour renflouer illégalement les caisses de sa formation politique, le Parti républicain. Il détourne ainsi 760 000 euros des fonds spéciaux de Matignon, en montant une opération bancaire bidon via le Fondo, un fonds d’investissement italien.
Car l’ambition démesurée de Léotard l’a conduit à devenir un homme profondément corrompu, prêt à tout pour parvenir à ses fins. Il est maintes fois condamné par la justice pour des affaires politico-financières particulièrement glauques. Ainsi, en 2011, après la chute du dictateur tunisien Zine el-Abidine Ben Ali, François Léotard est épinglé par une commission d’enquête sur la corruption du régime. L’ex-ministre, qui était rémunéré comme lobbyiste par l’entreprise française Pizzorno, « a usé de son autorité et de ses relations personnelles avec les responsables tunisiens pour influencer le cours du marché, le conclure en faveur de Pizzorno/Sovatram et donc s’octroyer un avantage injustifié […] portant atteinte aux intérêts de l’État tunisien ». Le 30 mai 2013, il est condamné à 3 750 euros d’amende par le tribunal de grande instance de Draguignan, pour « outrage à agents publics dans l’exercice de leurs fonctions » lors d’une perquisition à son domicile. En juillet 2017, il est mis en examen par la Cour de justice de la République (CJR) pour complicité d’abus de biens sociaux dans le volet financier de l’affaire Karachi, une affaire d’Etat qui concerne plusieurs contrats d’armement signés en 1994, Léotard étant alors ministre de la Défense : un contrat qui prévoyait la vente par la France de frégates à l’Arabie saoudite et un autre sur la vente de sous-marins au Pakistan et qui ont donné lieu à des rétrocommissions ayant permis de financer de manière illégale la campagne présidentielle d’Edouard Balladur. Le 1er octobre 2019, la CJR décide de le juger, ainsi que Balladur, pour abus de biens sociaux et recel. En mars 2021, la juridiction relaxe Édouard Balladur et condamne François Léotard à deux ans de prison avec sursis et 100 000 euros d’amende. Celui-ci annonce son pourvoi en cassation contre ce jugement et exprime sa « honte pour la justice française ».

CES INDÉLICATESSES successives n’empêchent pas François Léotard de faire la leçon en permanence et de se muer en adversaire implacable de « l’extrême droite ». C’est ainsi qu’il participe activement à la diabolisation du Front national, de ses dirigeants et de ses militants. Candidat (malheureux) à la succession de Jean-Claude Gaudin à la tête de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, il fait de Jean-Marie Le Pen, lui aussi candidat, son adversaire principal, allant, de manière très inélégante, jusqu’à lui reprocher son grand âge lors d’un débat télévisé de très faible niveau sur Antenne 2. Ce qui lui attire cette réplique du Menhir : « vous devriez éviter de parler de mon âge. Je crois savoir, monsieur Léotard, que mes artères sont en meilleur état que les vôtres ». Et de fait, bien que plus jeune que Le Pen de 14 ans, Léotard le précède dans la tombe. Comme quoi il est fort imprudent de se moquer du grand âge d’adversaires ou de contradicteurs !
Mais là où Léotard fut sans doute le plus venimeux, c’est dans sa condamnation du révisionnisme et de l’antisionisme et dans sa soumission servile au judaïsme politiquement organisé dont il devint un misérable relais et porte-voix. Il devint en effet pendant plusieurs années chroniqueur d’Israël Magazine, un périodique de piètre qualité totalement soumis à l’entité sioniste et il écrivit une vipérine lettre ouverte au président iranien Mahmoud Ahmadinejad à l’occasion de la conférence internationale sur l’Holocauste qu’il avait organisée en 2006 à Téhéran. Cette lettre publiée sur une pleine page du Figaro le 5 novembre 2006 aux frais du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) qui en assura une forte publicité mérite d’être reproduite ci-dessous en intégralité tellement elle démontre à quelle point une pseudo-droite judéo-servile peut être méprisable et haïssable et comment elle incarne une trahison totale du nationalisme français et du catholicisme traditionnel, ce qui est d’autant plus honteux et scandaleux de la part d’un homme élevé dans des idéaux monarchistes et maurrassiens et qui multiplie dans ce texte de commande les poncifs et les contre-vérités les plus lamentables.

« Monsieur le Président,
Franchement, en commençant cette lettre, je n’avais pas envie de vous appeler de cette manière.
Ce titre implique en effet un minimum de respect.
Je le fais néanmoins parce que c’est vous qui vous exprimez au nom des Iraniens. Sur les photos, je vous vois devant des foules, des visages, des mains levées.
Sans doute peut-on y deviner une forme d’enthousiasme, en tout cas d’adhésion.
Nous avons, en Europe, connu ces foules. C’était un mauvais moment pour nous. Une période tragique dont nous continuons à porter la honte et l’angoisse.
L’un des peuples les plus cultivés du monde, un peuple qui avait élevé à un haut degré la philosophie, la musique, la poésie, la science, un peuple qui avait étonné ses voisins par son rayonnement avait sombré dans la haine, la folie raciale, l’ignominie.
Des dizaines de millions d’individus ont subi, dans leur chair, leur culture, leur dignité, cette étrange barbarie qui se voulait un ordre nouveau. Ce furent d’abord les propres ressortissants de cet Etat, des Allemands, puis peu à peu les autres, tous les autres…
On appela cette folie une guerre mondiale.
Mais ce fut surtout une guerre contre ce qu’il y avait d’humain en nous. Les livres furent brûlés, les enfants déportés et assassinés, les intelligences brisées.
Tout ce qui faisait l’honneur de l’homme fut piétiné. Et puis…
Et puis, j’en viens à vous : une partie de l’espèce humaine, le peuple juif, fut destiné à l’enfer. Oh, je vous le concède, une petite partie.
Ce n’était ni les plus nombreux, ni les plus riches, ni même les plus influents.
C’étaient des hommes et des femmes qui avaient porté très longtemps et très loin leur foi, leurs questions sur le monde, sur Dieu, sur la nécessité de vivre ou de souffrir, sur le bonheur d’aimer. Généralement, ils fréquentaient les livres. Ils réfléchissaient beaucoup, ils ne comprenaient pas pourquoi on ne les aimait pas, pourquoi on les appelait des «sous hommes» des Untermensch, pourquoi on les considérait comme des insectes… Ils furent pourchassés dans toute l’Europe, pendus, fusillés, brûlés…
Vous savez parfaitement tout cela, mais je l’évoque devant vous pour trois raisons au moins:
— La première, c’est que nous (je dis “nous”, c’est une façon de parler) n’accepterons pas que ça recommence. Je ne suis pas juif, mais les Juifs sont, comme les Perses mes frères en humanité.
— La seconde, c’est qu’ils ont le droit, comme vous, comme moi d’avoir une patrie. Que ce soit la France ou Israël ne change rien à l’affaire.
— La troisième raison ne vous plaira pas. Mais tant pis : c’est qu’ils apportent au monde (et probablement c’est cela que vous voulez « rayer de la carte ») c’est une conception de l’homme et de son destin qui a enrichi plusieurs siècles de civilisation, et qui fait honneur au peuple juif comme à l’Etat d’Israël.
Monsieur le Président, vous avez le droit d’être nationaliste. Vous avez le droit d’être fier de l’histoire du peuple perse. Vous avez le droit d’être croyant et de prier le Dieu “clément et miséricordieux” comme il est dit au début de chaque sourate du Coran.
Vous pensez avoir le droit de voiler les femmes, de torturer les opposants, d’emprisonner les journalistes qui vous contredisent, de condamner à mort des enfants mineurs, de persécuter vos minorités.
Mais vous n’avez pas le droit de porter sur Israël le regard trouble, imbécile et haineux qui accompagne vos discours. Car il me semble que vous haïssez dans cet Etat la libre parole, la diversité des partis, le rôle de l’opposition, l’indépendance de la justice, la recherche universitaire et sans doute aussi… le courage.
C’est-à-dire tout ce que nous sommes en droit d’admirer.
Les hommes qui ont organisé la réunion de Wannsee où fut décrété l’anéantissement des Juifs d’Europe sont tous morts aujourd’hui. Naturellement, comme chacun d’entre nous, vous suivrez ce destin.
Je souhaite seulement que pour vous-même, pour le peuple perse, pour les jeunes enfants d’Iran ou d’Israël qui vous survivront, il ne vienne à personne l’envie d’aller cracher sur votre tombe. »
Voilà les hommes dits de droite de notre temps ![…]


RIVAROL, <jeromebourbon@yahoo.fr>.

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Billet hebdomadaire

La délinquance sexuelle des mineurs est-elle devenue une pandémie ?

En ce début de printemps morose, il n’y a pas que l’inflation qui poursuit son ascension en France. La délinquance, de toutes sortes, continue à progresser dans toutes les régions du pays, en n’épargnant aucune catégorie sociale, ni aucune classe d’âge.
L’augmentation continue de la consommation de stupéfiants explique dans une certaine mesure la véritable guerre des clans, des gangs, des bandes qui ensanglante, notamment, la ville de Marseille et ses alentours. Les dealers et leurs auxiliaires, de plus en plus jeunes, de plus en plus nombreux, tirent de plus en plus souvent pour tuer, pour éliminer le concurrent. Las, une tête coupée et en voilà dix qui poussent. L’argent de la drogue est si facile, si abondant : le risque de se faire liquider par d’autres trafiquants, s’il est bien réel, ne pèse guère lourd devant la promesse des liasses de billets, des grosses cylindrées et des prostituées à malmener. Et puis, les plus jeunes, parfois d’une juvénilité à peine démarrée mais à la voix déjà pour toujours éraillée par la violence de leur enfance, ont le goût du sang et de l’odeur de la poudre, du soufre et des larmes. Certains, si petits, impunis et débridés par cette impunité, se savent préservés de la prison comme de tout autre châtiment. D’autres vont user d’ultra-violence à l’encontre de concurrents en sachant pertinemment qu’ils ne risquent rien, ou si peu, au regard du travail accompli. Un mineur de 15 ans, quoi qu’il ait fait, ne sera jamais enfermé plus de cinq ans dans je ne sais quel centre “éducatif” fermé. Aussi, sous l’influence d’une sous-culture “racaille”, mafieuse, ou plus académiquement qualifiée d’urbaine (gangsta rap, culte de la violence gratuite, drogues, fétichisme sexuel…) régnant dans des zones et milieux ghettoïsés, et sous ce sentiment d’impunité prégnant, sinon généralisé, les trafics et leurs lots de violence croissent comme la végétation sous climat tropical.

L’UNE DES CONSÉQUENCES DE LA LIBÉRATION SEXUELLE

Cette délinquance, qui se développe comme la pourriture dans un charnier, n’est malheureusement pas limitée au monde de la drogue. Toutes les délinquances sont en nette progression en France. Aussi bien celle concernant l’argent et les biens (vols, escroqueries, chantages, corruptions…) que celles perpétrées contre les personnes. Non seulement pour des raisons crapuleuses (vols avec violence et sous tortures) mais aussi pour assouvir des pulsions de mort, de sadisme ou pour jouir de la réification de fantasmes pervers (d’ordre sexuel).
Paradoxalement, plus la libération de l’homme se veut sexuelle, plus elle est accompagnée de violences de plus en plus féroces contre les faibles et les petits. Et, à l’image du phénomène observé dans la délinquance liée au trafic de drogue, les viols et les agressions sexuelles sont commis par des prédateurs de plus en plus jeunes, de plus en plus brutaux, de plus en plus pervers et de plus en plus vicieux dans les supplices qu’ils infligent à leurs victimes.

UN FAIT DIVERS QUI SYMBOLISE TOUT !

L’épouvantable meurtre de la petite Rose, âgée de 5 ans, perpétré au fin fond du département des Vosges par un adolescent habité par un vice des plus diaboliques, constitue une ignoble illustration du véritable hiver moral, spirituel et politique que vit, en particulier, notre pauvre France.
Tout dans cette affaire épouvantable démontre la faillite du système socio-politique qui étouffe et défigure la France. Le crime lui-même. Une horreur causée, dit-on, par un adolescent (dont la débilité mentale n’excuse rien) sur une fillette apparemment laissée sans surveillance dans un square récréatif. Une enfant toute petite violée et tuée, le corps enfermé dans un sac poubelle comme le fut celui du petit Grégory, en son temps, dans ces mêmes Vosges.
Un fait divers atroce, d’une exceptionnelle gravité et imprévisible ? Malheureusement non. Les cas d’enfants violés, torturés, tués, ne sont plus rarissimes. Bien au contraire, ils augmentent d’une façon exponentielle. D’autre part, le bourreau de la petite Rose était, malgré son jeune âge (il n’a pas encore 16 ans), un récidiviste. Et le tortionnaire n’avait pas été jugé et placé dans un centre éducatif fermé (à Forbach, en Moselle) pendant un an pour avoir volé des pommes vertes sur l’étal d’un marché campagnard à Rambervillers ou à Remiremont. Il avait violé deux garçons de 10 ans en pleine forêt. C’est en tout cas ce que nous relatent les media.
Visiblement, ces méfaits n’avaient pas étonné la Justice, l’Etat, et les experts psychiatres ou psychologues. Tout le monde considérait officiellement l’adolescent brutal et lubrique comme “normal”. Il viole des garçons, il parle à son vélo, mais nos chères institutions l’ont déclaré apte à vivre en société et donc à passer son temps dans les jardins d’enfants !
Peut-être que cet adolescent est devenu complètement taré ? Les experts disent que non, et il est bien évident qu’ils ne diront jamais qu’il avait perdu la raison avant l’assassinat de la petite Rose. Ni l’institution médicale, ni l’Etat, ne le souhaiteraient. Un telle révélation, si elle était possible, et du reste, argumentée, aurait des conséquences fort dommageables pour eux. Il aurait, croit-on comprendre, perdu momentanément la raison en commettant le crime qu’on lui attribue (mais il reste beaucoup de zones d’ombre à éclaircir dans cette affaire).
Violée ou non, la fillette fut néanmoins la victime d’un jeune pervers motivé dans ses actes par des fantasmes sexuels ou para-sexuels.
Comment cet adolescent a-t-il pu devenir un tel monstre ?
On sait que la majorité des criminels sexuels pédophiles est composée d’anciennes victimes qui reproduisent le mal dont elles ont souffert. Comme les vampires devenus vampires après avoir été mordus, ils mordent à leur tour.

UN VAMPIRISME QUI A LE VENT EN POUPE

Si cette rage perverse existe depuis la nuit des temps, il apparaît aujourd’hui que la pandémie se développe, en quantité et en intensité, en particulier dans les sociétés dites “progressistes”, dans les sociétés permissives, là précisément où la pornographie a tout souillé.
Comme le SIDA qui a commencé à proliférer dans des conditions nouvelles, sous l’empire de libertés nouvelles, sous l’impulsion d’une contre-culture, le phénomène pédomane a explosé après être sorti des poches sociales catégorielles où il se perpétuait auparavant en vase clos.
Aujourd’hui, la conséquence la plus visible de cette véritable pornocratie est l’augmentation très forte de la délinquance sexuelle des mineurs, une délinquance qui touche tous les milieux, et des individus de toute origine.
La dernière grande étude sociologique sur la délinquance sexuelle des mineurs s’appuie sur la période 2019-2020. Soyons sûrs que trois ans plus tard, le fléau, loin d’avoir été jugulé, ne cesse de s’étendre (d’autant plus que l’année 2020 est spécifique dans le sens où toutes les activités humaines (y compris les plus sordides) étaient au ralenti du fait des restrictions sanitaires et du COVID-19. […]

François-Xavier ROCHETTE.