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Rivarol n°3623 du 17/7/2024 (Papier)

Editorial

Le règne de la violence et du crime

LA VIOLENCE sous toutes ses formes, et de plus en plus barbare, atteint décidément des sommets dans nos sociétés atomisées et sans repères. On le voit aux Etats-Unis où l’ancien président Donald Trump a subi une tentative d’assassinat lors d’un meeting qu’il tenait le 13 juillet en Pennsylvanie et dont il est sorti miraculeusement presque indemne, seul le haut de son oreille droite ayant été touché par la balle du tireur (voir l’article de Scipion de Salm en pages centrales), ce qui, soit dit en passant, change radicalement la donne pour la présidentielle du 5 novembre dont il est désormais le grand favori. Ce qui frappe dans cette affaire, c’est que le tireur n’avait que 20 ans. C’est extrêmement jeune pour commettre un acte de cette gravité. Et là on ne peut pas mettre en cause l’immigration. C’est un jeune Américain de souche qui, semble-t-il, détestait Trump politiquement au point d’avoir voulu l’éliminer physiquement.
Mais la violence, sans avoir le plus souvent une portée politique, est très présente également dans notre pays. En témoignent deux faits divers particulièrement macabres ces derniers jours. D’abord l’assassinat en Seine-Maritime le vendredi 12 juillet avec une sauvagerie inouïe d’une fillette de six ans, Célya, par son beau-père, un homme de 42 ans qui avait quelques heures avant donné neuf coups de couteau à sa concubine avant de kidnapper sa petite fille, Célya, en la prenant dans sa voiture avant de la tuer. La fillette a reçu un coup majeur derrière le crâne qui est probablement à l’origine de son décès et on a remarqué par ailleurs des ecchymoses sur tout son corps supplicié qui a été retrouvé dans une forêt ainsi que le tueur, lui vivant et armé d’un couteau. Vingt-quatre heures plus tard, le samedi 13 juillet au soir, vers 21h45, un homme de 57 ans a ouvert le feu tuant trois personnes et en blessant quatre autres dans un petit village de l’Allier avant de retourner l’arme contre lui. Il a tué à bout portant lors d’une fête d’anniversaire organisée pour célébrer les 20 ans d’un voisin le jeune homme en question, son père (53 ans) et son parrain (54 ans). Ce qui devait être un moment joyeux et bon enfant a viré à la tragédie. Le tueur a également tiré sur des automobilistes sur la route. La fête privée était distante d’au moins plusieurs centaines de mètres du domicile du tueur, ce qui tendrait a priori à écarter la thèse de l’exaspération liée au tapage nocturne, d’autant qu’il faisait encore jour. 21h45 n’est d’ailleurs pas une heure tardive.

CE QUI EST FRAPPANT dans ces « faits divers » tragiques, c’est que l’on a affaire à des individus déstructurés et sous l’emprise de la drogue ou de l’alcool et des psychotropes. Dans le cas du beau-père de Célya, il s’agit d’un drogué, consommateur régulier de cocaïne (il en avait pris peu avant de poignarder sa concubine, d’enlever puis de tuer l’enfant), bien connu des services de police et de justice, déjà condamné à cinq reprises pour des infractions en lien avec des stupéfiants. La mère de Célya, qui était en couple depuis deux environ avec cet homme, a expliqué qu’il souffrait de « troubles psychologiques » et qu’il était « consommateur de produits stupéfiants de manière régulière et ancienne ». Il ne faut pas croire qu’il s’agit là d’un cas marginal, isolé, exceptionnel. La consommation régulière de la drogue atteint désormais des niveaux inouïs dans notre pays. Sait-on qu’un Français sur dix, ce qui est considérable, a déjà pris de la cocaïne dans sa vie et qu’un Français sur deux consomme du cannabis ? C’est en tout cas la conclusion d’une étude très sérieuse de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) publiée le 26 juin dernier. « La cocaïne est de plus en plus disponible. L’offre a beaucoup augmenté, avec des saisies records, dans un contexte de production en hausse considérable, un prix qui stagne — entre 60 et 70 euros le gramme — alors que la pureté augmente », explique au Parisien Guillaume Airagnes, directeur de l’OFDT. La Colombie, premier producteur mondial, a battu en 2022 un nouveau record avec 1 738 tonnes de cocaïne fabriquées. La même année, 27,7 tonnes de poudre blanche ont été interceptées en France, selon le dernier bilan des autorités, un chiffre multiplié par cinq en dix ans. « On peut ajouter à cela la démocratisation de l’usage avec une plus grande variété de types de consommation : festives, mais aussi dans des métiers où la pénibilité est forte » ajoute le directeur de l’OFDT. Toutes les les drogues d’ailleurs explosent : de l’ecstasy à l’héroïne, en passant par les drogues de synthèse souvent prisées dans les pratiques dites de “chemsex” et consistant à ingérer des drogues chimiques pour prolonger et intensifier le plaisir sexuel. Cette pratique avait été médiatisée au moment de l’affaire Palmade, l’humoriste drogué au dernier degré ayant percuté en février 2023 avec sa voiture dont il avait perdu le contrôle une autre automobile arrivant en sens inverse, blessant grièvement une femme enceinte et tuant son fœtus — ce qui n’a pas été reconnu comme un homicide involontaire, le bébé à naître n’ayant pas de statut juridique et n’étant pas considéré comme une personne dans notre pays qui se prétend pourtant civilisé —.
La massification de l’usage des drogues ne peut qu’entraîner la multiplication de crimes atroces et barbares dans notre pays, et d’ailleurs dans tout l’Occident, les consommateurs sombrant dans des moments de pure folie qui peuvent durer et où ils sont capables de faire absolument n’importe quoi : violer, violenter, tuer, poignarder, massacrer tout ce qui les entoure. La lutte contre la drogue (et contre la pornographie) devrait être une priorité absolue de tous les gouvernements mais ce n’est bien sûr pas le cas. Il s’agit au contraire pour les pouvoirs publics de détruire la société, et singulièrement notre jeunesse, par tous les moyens. De la promotion des mœurs contre-nature, de la transsexualité jusqu’à la complaisance à l’égard de l’usage de la drogue que certains partis politiques veulent même légaliser, dépénaliser alors qu’il n’y a déjà dans les faits quasiment aucune sanction contre son usage ni non plus contre son trafic. Que fait-on de manière concrète et efficace contre les gros bonnets de la drogue ? Rien ou à peu près rien. Si les pouvoirs publics mettaient autant d’énergie à lutter contre les cartels de la drogue qu’ils le font à lutter contre « le racisme, l’antisémitisme, les discriminations et l’extrême droite », ils auraient certainement déjà obtenu des résultats. Mais manifestement ce n’est pas ce qui les intéresse.

DANS L’AUTRE AFFAIRE, celle de ce tueur tirant sur des personnes participant à un anniversaire près de Vichy, on incrimine, semble-t-il, la consommation concomitante d’alcool et de psychotropes. Ce homme de 54 ans qui vivait seul et reclus avait été mis en cause dans le passé pour un défaut de paiement de pension alimentaire, preuve qu’il avait eu une femme (ou une concubine) et des enfants dont il ne s’occupait pas. Dans les deux cas, il s’agit de naufragés de la vie. Le premier était le concubin depuis deux ans à peine d’une femme dont la fille n’était pas la sienne (elle l’avait eue avec un autre homme il y a six ans, un père dont on ne sait rien, dont on ne nous dit rien, et qui fut peut-être l’amant d’une nuit aussitôt disparu et oublié), fillette à laquelle manifestement il n’était pas attaché pour lui avoir fait subir d’aussi atroces tourments. On constate que ces drames affreux se déroulent très souvent dans le cadre de familles dites recomposées, en fait décomposées, et où le beau-père (ou parfois la belle-mère) peut se comporter en véritable monstre à l’égard d’enfants qui ne sont pas les siens. Car, qu’on le veuille ou non, même si fort heureusement, dans la plupart des cas, on n’atteint pas ce niveau de violence, dans les familles recomposées, on fait semblant. Mais la réalité finit toujours par réapparaître, par se venger à un moment ou à un autre. Cela se passe plus ou moins mal, mais au fond les enfants savent bien (et tout le monde avec eux) que le beau-père n’est pas leur père, que la belle-mère n’est pas leur mère, que ceux qu’on dit être leurs frères et sœurs en réalité ne le sont pas, ou qu’à moitié seulement. Cela change tout. Ou en tout cas beaucoup de choses. Le tueur de l’Allier, lui, ne payait pas sa pension alimentaire, ce qui là aussi en dit long sur la perte totale des liens familiaux et de ses obligations morales. La destruction de la famille traditionnelle, du mariage chrétien, de la morale naturelle, atteint désormais tous les milieux, toutes les générations, tous les profils, tous les courants politiques. Elle est inouïe, sans précédent dans son ampleur, dans son universalité, dans ses conséquences apocalyptiques.
On parle toujours de la nécessité, certes impérieuse, de redresser la nation, de la sauver, de la relever, d’œuvrer au bien commun. Mais on oublie trop souvent que la patrie, qui est la terre des pères, n’est jamais qu’une famille de familles et que, s’il n’y a plus de familles, alors il n’y a plus de nation, plus même de société. Et comment ne pas voir aussi et surtout, car finalement tout est lié, dans ces drames épouvantables, qui ne peuvent hélas que se multiplier, les conséquences incalculables de l’apostasie des masses ? Car, comme le disait déjà à son époque Dostoïevski, « si Dieu n’existe pas, alors tout est permis ». S’il n’y a plus les balises et les repères qui donnaient sens à la vie et qui étaient autant de garde-fous, si l’on ne sait plus d’où nous venons, qui nous sommes et où nous allons, si l’on ne croit plus ni à Dieu ni à diable, si l’on ne craint plus l’Enfer et qu’on n’aspire plus au Paradis, si l’on peut changer de genre, d’orientation sexuelle, d’allure et d’accoutrement à sa guise, s’en prendre à son être et à son intimité la plus profonde, se grimer et se métamorphoser sans cesse, si désormais il ne s’agit plus seulement après la mort de se faire brûler, incinérer, ce qui était déjà une façon de s’en prendre à l’inhumation chrétienne, mais carrément, comme on nous y exhorte désormais, de se faire composter, façon, nous dit-on, de réduire notre empreinte écologique — c’est ce qu’on appelle l’humusation, qui consiste à réduire en compost le corps d’un défunt, lequel corps est enveloppé dans un linceul biodégradable, sans cercueil, puis déposé sur vingt centimètres de copeaux de bois humidifiés par de l’eau de pluie et d’un peu d’argile —, alors l’aventure humaine est sans doute proche de son terme.  […]

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Billet hebdomadaire

Chronique de la France asservie et… résistante

Richard Prasquier, ancien président du CRIF et président d’honneur de l’officine, a déclaré qu’il avait voté RN « pour faire obstacle à la France Insoumise ». Voici ses propos : « Devant le danger représenté par LFI, le temps est peut-être venu de regarder différemment le Rassemblement national ». Prasquier déclare avoir eu une série de chocs qui ont « ébranlé certaines de (ses) convictions ». Il y a d’abord eu la création du Nouveau Front populaire dont le programme ne peut « aboutir à autre chose qu’un séisme économique ».Deuxième choc : « La place de la République couverte de drapeaux palestiniens et algériens et Jean-Luc Mélenchon appelant au barrage républicain contre le Rassemblement national », avec « à ses côtés une jeune femme en keffieh, Rima Hassan, qui venait d’accuser l’armée israélienne d’entraîner des chiens pour violer les prisonniers palestiniens ».

L’ANCIEN PRÉSIDENT DU CRIF, RICHARD PRASQUIER, A VOTÉ POUR LE RN !

Mais le plus grand choc pour Pasquier fut de voir ceux qui, président Macron en tête, déclarent être « implacables face à l’antisémitisme » s’allier aux antisémites.  « Devant le danger représenté par LFI, le temps était peut-être venu de regarder différemment le Rassemblement national. Toute ma vie, j’ai tenu le parti de Jean-Marie Le Pen en abomination, mais il fallait cependant admettre que le discours de Marine Le Pen diffère depuis plusieurs années de celui de son père. Dans un récent article du Figaro, elle s’exprime de façon impeccable sur la collaboration, l’antisémitisme et la Shoah. Les paroles des dirigeants du RN après les événements du 7 octobre ont montré une empathie pour Israël qu’on aurait aimé trouver ailleurs. Petit accroc quand Bardella estime que Jean-Marie Le Pen n’est pas antisémite. Il se corrige vite, trop vite peut-être pour qu’on croie en la solidité de ses convictions »
Gageons que Bardella est actuellement sous haute surveillance des lobbys, qui le soupçonnent d’insincérité si ce n’est d’être un antisémite planqué. Prasquier n’oublie cependant pas « le long compagnonnage de Marine le Pen avec les pires gudards du Front National, Loustau et Chatillon, les préposés à la castagne et à l’agit prop, les parrains, d’ailleurs, de Soral et Dieudonné ». Une façon d’exiger de Marine Le Pen, de Bardella et de leur entourage, encore et encore des prosternations devant le Lobby. Le président honoraire du Crif poursuit : « L’arrivée de LFI au pouvoir impliquerait que ceux-ci (les juifs) fassent leurs valises, sauf à devenir des dhimmis, interdits d’expressions. La mise en équivalence des deux extrémismes de droite et de gauche m’a paru dépassée : entre un candidat LFI et un candidat RN, je choisirais aujourd’hui le RN et je ne voterais pas blanc « Bardella peut préparer sa kippa. Le pèleribage à Yad Vashem approche…

MEYER HABIB BATTU, QUELLE JOIE !

Ça, c’est une bonne nouvelle ! L’ancien cogneur du Betar, le député sortant franco-israélien apparenté LR de la huitième circonscription des Français établis hors de France, composée de Chypre, Malte, la Grèce, Israël, les territoires palestiniens, l’Italie et la Turquie, a été battu par la macroniste Caroline Yadan (qui ne vaut certes guère mieux), obtenant 47,3 %, alors qu’il s’était facilement qualifié pour le deuxième tour en recueillant 35,58 % des suffrages exprimés chez les expatriés. Furieusement sioniste, extrémiste juif de la plus belle facture, grand ami de Netanyahou et de l’extrême droite israélienne, faisant partie de ceux qui pensent qu’un bon Palestinien est un Palestinien mort, il s’était fait connaître ces derniers mois pour ses prises de position en faveur de la guerre à Gaza, ce qui lui avait valu d’être traité de “cochon” et de “porc” par un député LFI, termes que Meyer Habib avait curieusement considérés comme insultants…

KÉMI SÉBA DÉCHU DE SA NATIONALITÉ FRANÇAISE

Stellio Capo Chici, 42 ans, dont le pseudonyme sur les réseaux sociaux est Kémi Séba, présenté comme un agitateur antisémite et suprémaciste noir, a perdu sa nationalité française, selon un décret publié le mardi 9 juillet au Journal officiel. Le ministère de l’Intérieur avait demandé, en début d’année 2024, la déchéance de sa nationalité. En réponse, le militant avait publié une vidéo d’une de ses conférences de presse où on le voyait brûler son passeport français. Il déclarait à l’occasion de ce rassemblement face à la presse, à Fleury-Mérogis, être un « Béninois libre » : « Votre passeport, ce n’est pas un os que vous nous donnez ou nous retirez en fonction de notre degré de soumission vis-à-vis de vous, comme si les Noirs étaient des chiens. Je suis un homme noir libre. »
Radicalement panafricaniste, il était devenu, depuis quelques années, un véritable relais de l’influence russe en Afrique pour son million d’abonnés sur Facebook, opposé à la présence de militaires français en Afrique subsaharienne. Par ailleurs, il a publiquement soutenu l’arrivée de mercenaires du groupe Wagner en Afrique. Présenté comme proche de Dieudonné et de Boris Le Lay, très judéocritique, il avait vu son modeste mouvement « Tribu Ka » dissous en 2006 pour « incitation à la haine raciale ».
Après l’assassinat d’Ilan Halimi, il avait pris la défense de Youssouf Fofana et menacé des institutions juives dans un courriel : « Si d’aventure il vous prenait l’envie d’effleurer, ne serait-ce qu’un seul des cheveux du frère, au lieu de lui laisser avoir un procès équitable, nous nous occuperons avec soin des papillotes de vos rabbins. » Lesquels rabbins qui ont le bras long ont fort peu apprécié la menace. Et Kémi Séba a donc été déchu de la nationalité française.

LE VATICAN “EXCOMMUNIE” MONSEIGNEUR VIGANO

Benoît XVI avait nommé Mgr Vigano nonce apostolique aux États-Unis en 2011 et le prélat a exercé cette fonction pendant cinq ans, de 2011 à 2016. Depuis, les choses se sont gâtées. Vigano a non seulement rejeté l’autorité de Bergoglio-François, mais refuse désormais d’accepter la légitimité du concile Vatican II et de toutes les réformes qui en sont issues. Il a également publié un rapport explosif accusant Bergoglio d’avoir réintégré le prédateur homosexuel, le “cardinal” Theodore McCarrick, à un poste de premier plan, malgré la connaissance des abus en série de McCarrick. Convoqué en juin au Vatican pour faire face à des accusations de schisme, il a refusé de s’y présenter, réaffirmant qu’il ne reconnaît pas François comme chef de l’Église catholique. « Comme je l’ai indiqué dans mon communiqué du 20 juin, je ne reconnais pas l’autorité du tribunal qui prétend me juger, ni de son préfet, ni de celui qui l’a nommé », a déclaré Vigano.
Reconnu coupable du « crime canonique, ou délit, de schisme, ou refus de se soumettre au pape ou à la communion de l’Église », à l’issue de la procédure pénale extrajudiciaire du Vatican, le « Dicastère pour la doctrine de la foi » a officiellement annoncé « l’excommunication latae sententiae » pour “schisme” le 5 juillet 2024 de Carlo Maria Viganò. Lequel avait été reconsacré sous condition et discrètement fin 2023 dans le rite traditionnel des consécrations épiscopales, celui antérieur au 18 juin 1968, par Mgr Richard Williamson (lui-même exclu en octobre 2012 de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X par Mgr Fellay à cause de son refus public du rapprochement de cette structure avec le Vatican). Vigano (83 ans), quant à lui, appelle à nouveau Bergoglio (87 ans) à démissionner.
A noter que la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X — en quête depuis de longues années d’un modus vivendi avec le Vatican et qui n’a absolument aucune envie d’être à nouveau excommuniée, depuis qu’elle a obtenu la levée des excommunications de ses évêques par Benoît XVI en janvier 2009 —, s’est désolidarisée publiquement et sans ménagement le 27 juin de Mgr Vigano, condamnant explicitement son “sédévacantisme”.
Mon Dieu, quelle pagaille ! C’est vraiment l’heure des ténèbres et du chaos ! […]

Robert SPIELER.