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n°3671 du 23/7/2025 (Papier)

Editorial

Emeutes allogènes : que fait Retailleau ?

Le PREMIER MINISTRE le 15 juillet dans un long discours a évoqué la nécessité de stabiliser puis de réduire la dette abyssale, de remettre de l’ordre dans les finances publiques (voir l’article de Florian Adam en page 4) mais il serait également nécessaire et impératif de rétablir l’ordre dans la rue et dans la cité. En effet, ces derniers jours et ces dernières heures, le sud de la France est particulièrement la proie de ce que les grands media appellent des émeutes urbaines et qui sont en réalité des violences allogènes. Et ce n’est pas l’instauration d’un couvre-feu, comme cela a été décidé à Nîmes, qui changera quoi que ce soit. 
On connaissait les désormais traditionnels incendies de véhicules tant pour la Saint-Sylvestre que pour le 14 juillet. Et voici qu’en plein cœur de l’été des quartiers entiers brûlent et sont dévastés tant à Béziers, à Nïmes qu’à Limoges. Preuve, soit dit en passant, que le sémillant ministre de l’Intérieur, l’ambitieux Bruno Retailleau, n’est pas plus à la hauteur que ses prédécesseurs. Etre titulaire de la Place Beauvau, au moins depuis Pasqua en 1986, c’est se contenter du magistère de la parole qui permet de faire grimper rapidement et facilement sa cote de popularité et de se construire à peu de frais un costume de présidentiable mais ce n’est sûrement pas mener une action véritable et efficace contre la délinquance et la criminalité. 

CES ÉMEUTES dites urbaines ont toutefois le mérite de remettre sur le devant de la scène la question centrale, fondamentale, vitale, de l’immigration et de l’implantation dans notre pays de colonies de peuplement qui, au moins pour une partie d’entre elles, ne sèment que le désordre et le chaos, ne vivent que d’une criminalité organisée : trafic de drogue, rapines, guet-apens, meurtres. Le scénario est quasiment toujours le même : à Béziers dans l’Hérault où sévit l’inénarrable Robert Ménard, tout a commencé dans la nuit du samedi 19 au dimanche 20 juillet, dans le quartier dit sensible de la Devèze. Quand on dit quartier sensible, il faut comprendre quartier à forte concentration d’immigrés juvéniles extra-européens. Idem quand on parle de zones d’éducation spécialisée, les fameuses ZEP. Il faut savoir décrypter le langage médiatique. Les pompiers interviennent pour un feu de véhicules et de poubelles. Ils sont accompagnés de forces de l’ordre. Rien que de très classique jusque-là. Ils comprennent, mais hélas un peu tard, qu’ils sont tombés dans ce qui s’apparente à un véritable guet-apens. En effet, explique Michel Tauris, secrétaire général du syndicat France Police, à Europe 1, « ce feu a clairement été allumé pour attirer les pompiers et les policiers dans ce quartier et les attaquer de manière totalement délibérée et organisée. Il y a eu des tirs tendus de mortiers sur les collègues, donc il y avait véritablement une volonté de blesser, voire de tuer les représentants de l’État ». Ce n’est malheureusement pas une première. Ce fut déjà très souvent le cas lors des émeutes ayant suivi la mort du « petit ange » Nahel. 
De manière machiavélique, délibérée, préméditée, et, disons-le, criminelle, les forces de l’ordre et les pompiers avaient été appelés par ceux-là mêmes qui avaient déclenché les incendies : une cinquantaine d’individus, cagoulés et pour certains postés sur les toits des immeubles. L’émeute dans la cité biterroise a pris fin lorsqu’un tir de mortier a atteint un appartement, en présence de son occupante. On se croirait dans une situation de guerre et, d’une certaine manière, en effet c’est bel et bien une guerre qui est menée, qui nous est déclarée. « Le mortier a embrasé l’appartement et a nécessité le sauvetage au moyen de l’échelle d’une personne bloquée au 4e et d’autres personnes réfugiées sur le toit. Les secours ont dû intervenir dans une situation tendue, sous protection des forces de sécurité intérieure », ont précisé les sapeurs-pompiers de l’Hérault. Le sinistre a totalement détruit l’appartement de 130 mètres carrés, qui appartenait à une personne âgée, sans heureusement faire d’autre victime que son malheureux chat. Selon le commissaire de la direction interdépartementale de la police nationale, Éric Agniel, ces violences sont le résultat d’« un guet-apens » organisé par les narcotrafiquants en réaction à « plusieurs interpellations et saisies de drogues depuis quelques jours dans ce quartier de la Devèze ». « Ces faits seront susceptibles d’être qualifiés de violences avec arme, dans le cadre d’un guet-apens et sur personne dépositaire de l’autorité publique, de destruction volontaire par incendie du bien d’autrui, et font encourir dix ans d’emprisonnement à leurs auteurs », a fait savoir à l’Agence France-Presse le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland, qui a ouvert une enquête. Mais tout cela ce ne sont que des mots. Que fait-on, que tente-t-on pour que cela cesse ?

A UNE CENTAINE de kilomètres de là, à Nîmes, la situation a elle aussi dégénéré, et ce depuis plusieurs jours. Le vendredi 18 juillet, la municipalité dite de droite a annoncé un couvre-feu dans les secteurs dits “sensibles” (c’est-à-dire à forte concentration allogène), dès le lundi 21 juillet. De 21 heures à 6 heures, il est désormais interdit pour les mineurs de moins de 15 ans de se trouver dans les rues de la ville, pendant 15 jours et « renouvelable si nécessaire ». Ce n’est pas cela qui est de nature à décourager les émeutiers de sortir en bande organisée nuitamment d’autant plus que les contrevenants risquent tout au plus, en cas de récidive, une simple contravention et pourquoi pas un modeste rappel à la loi ! De qui se moque-t-on ? 
Cette mesure (le couvre-feu), tant décriée quand c’était l’occupant qui l’imposait pendant la dernière guerre, est aujourd’hui plébiscitée par des édiles qui ne savent plus à quel saint se vouer pour assurer ou rétablir un semblant d’ordre dans leur commune. Elle fait suite aux « fusillades, règlements de comptes, tensions entre bandes (ethniques) » qui secouent la préfecture du Gard depuis plusieurs jours. Le but est de « protéger les mineurs, éviter qu’ils soient exposés aux violences en cours et contenir les tensions », a déclaré la mairie dans son communiqué. Le quartier Pissevin, notamment, est particulièrement visé, lui qui est le théâtre d’une guerre de territoires entre les trafiquants de Pissevin et ceux de Mas-de-Mingue et Valdegour, alliés à la DZ Mafia, un groupe criminel basé à Marseille. Une fusillade a notamment eu lieu jeudi dernier sur l’une des places du quartier. Mardi 15 juillet, un jeune homme de 19 ans, connu pour son implication dans des affaires de stupéfiants, a été abattu par balle dans le quartier de la Garrigue. Son corps, partiellement calciné, a été retrouvé dans un village des environs de Nîmes. Un meurtre en lien avec les événements récents dans les quartiers nîmois, selon le parquet. Voilà où nous en sommes dans la France de 2025 du terrible Monsieur Retailleau.

COMME SI cela ne suffisait pas, voici qu’à Limoges, qui fut longtemps une cité paisible, connue pour sa porcelaine, la fin de la semaine dernière a été le théâtre de violences urbaines. Selon la préfecture, une « centaine de personnes » — que les choses sont dites de manière pudique et euphémique ! — ont bloqué la RN141 menant à Angoulême et s’en sont pris aux véhicules à coups de batte de baseball, dans la nuit de vendredi 18 au samedi 19 juillet, peu après minuit. Des affrontements ont éclaté durant trois heures entre les forces de l’ordre, munis de LBD et de gaz lacrymogène, et ces individus masqués, également armés de mortier et de cocktails Molotov. Les échauffourées ont cessé vers 4 heures du matin. Elles ont fait neuf blessés parmi les policiers. « Certains véhicules étaient occupés par des familles, en présence d’enfants mineurs », a souligné le parquet dans un communiqué. Huit plaintes, sur une dizaine de victimes, ont été recensées. « Aucun des automobilistes n’a été violenté physiquement. Pour autant, plusieurs sont particulièrement choqués », indique l’institution judiciaire. « Une victime explique avoir été forcée de sortir de la voiture, de vider ses poches, ce qu’il a fait, et [les suspects] sont ensuite partis avec le véhicule », qui a été retrouvé plus tard incendié, a notamment précisé Émilie Abrantes, procureur de la République à Limoges. C’est dire la gravité de la situation. Lors des émeutes consécutives à la mort de Nahel, beaucoup d’observateurs avaient été frappés par le fait que les émeutes ne touchaient plus seulement des grandes métropoles et leurs périphéries mais également des villes moyennes, voire de toutes petites villes, voire des bourgs, jusque-là connus pour leur calme. C’est dire que la situation ne cesse de s’aggraver, que le cancer se métastase avec la complicité active des pouvoirs publics qui n’ont d’autre obsession que de lutter de manière plus draconienne contre le prétendu racisme des autochtones et contre les discriminations. Mais pas bien sûr la discrimination positive !
Et au lieu de prendre des mesures vigoureuses et énergiques contre ces trafiquants de drogue, contre les allogènes qui commettent sur le territoire national des crimes et des délits en série, au lieu d’arrêter puis d’inverser les flux migratoires, le gouvernement n’a d’autre objectif que de vider un peu plus les poches du contribuable en augmentant les prélèvements obligatoires, en bloquant la hausse liée à l’inflation de toutes les prestations et de toutes les pensions. L’idée au final est évidemment de se saisir de l’épargne des Français et de leur patrimoine immobilier en augmentant à terme massivement les droits de succession en prétextant que le redressement des comptes publics l’exige. Après avoir alimenté une dette et des déficits pharaoniques (le dernier budget à l’équilibre date de 1974 !), encore aggravés par les intérêts de la dette du fait du système usuraire dans lequel nous vivons, les pouvoirs publics veulent mettre les Français à l’amende. Sans même leur garantir dans la rue voire dans leur voiture la sécurité et la paix auxquelles ils aspirent. Leur République, c’est le désordre organisé. Le règne du vide, du néant et du chaos.

RIVAROL,<jeromebourbon@yahoo.fr>.

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Billet hebdomadaire

Donald Trump pris au piège de l’affaire Epstein

Pendant la campagne de l’élection présidentielle de 2024, Donald Trump avait promis, dans le cas où il serait réélu, de déclassifier et de publier des documents relatifs à l’affaire Jeffrey Epstein, incluant une potentielle liste des clients ayant visité l’île de Little Saint James et monté à bord du Lolita express. Cette promesse a été rapportée par Trump en personne dans des publications sur les réseaux sociaux, notamment le 3 septembre 2024, où il a déclaré qu’il n’aurait « aucun problème » à publier une telle liste.
 Après son retour à la Maison-Blanche le 20 janvier 2025, Trump a continué à être associé à cette promesse de transparence sur cette affaire. En février 2025, la procureure générale Pam Bondi, fraîchement nommée par Trump, a alimenté les attentes des chercheurs de vérité en déclarant sur Fox News qu’elle avait une « liste de clients » d’Epstein « sur son bureau », suggérant ainsi une publication imminente.
Las, cette liste explosive n’a jamais été rendue publique, et n’est pas près de l’être, puisque le ministère américain de la Justice a finalement déclaré, le 7 juillet dernier, qu’aucune liste de clients n’existait ! Ce fut la douche froide pour tous ceux convaincus par l’idée que Jeffrey Epstein n’était pas un prédateur isolé simplement secondé par sa partenaire Ghislaine Maxwell mais l’organisateur d’un réseau spécifique. Non simplement d’un réseau de prostitution et de clients réguliers mais d’une entreprise servant à compromettre les puissants de ce monde par l’enregistrement de leurs viols sur mineurs.

UNE AFFAIRE DE KOMPROMAT ENTERRÉE ?

Ainsi, pensent ceux que les commentateurs autorisés appellent toujours “complotistes”, les personnalités qui se sont soumises à ce rituel mémorisé pour l’éternité, deviennent en quelque sorte dignes de confiance aux yeux du pouvoir de l’ombre : ils ne pourront jamais trahir ou désobéir étant tous tenus par un secret épouvantable. Selon ceux que l’on affuble de l’étiquette de complotisme, le fait est grave et signe l’abandon du dévoilement public de la vérité.
Devant la déception de sa base dite MAGA, qui attendait de plus en plus impatiemment des révélations majeures sur ce dossier, Donald Trump a tenté de minimiser, le 12 juillet, l’importance de l’affaire Epstein dans un message sur son réseau social Truth Social, dans lequel il a défendu Pam Bondi. Ainsi a-t-il considéré subitement l’intérêt pour l’affaire Epstein comme « une obsession » et comme « une distraction ». Ses partisans chagrinés devaient enfin comprendre que le dossier Epstein avait été artificiellement monté par le camp démocrate pour nuire à son mouvement.
Trump prend l’eau, sa crédibilité auprès d’une fraction importante de ses sympathisants s’effondre. Ses diverses tergiversations menant parfois à l’abandon de la parole donnée (comme ici dans l’affaire Epstein) expliquent en grande partie le désenchantement dont il souffre.

DES COMPLOTISTES HYPNOTISÉS PAR LE PIZZAGATE ?

Mais combien de temps aura-t-il fallu à cette frange MAGA pour découvrir l’imposture de Trump sur ce sujet notamment ? Trump fut un proche de Jeffrey Epstein pendant de longues années après avoir été le disciple politique de Roy Cohn, le prédécesseur du premier dans cette activité présumée de Kompromat.
Trump ment. Il a non seulement bien connu Jeffrey Epstein mais l’affaire dite Epstein n’a pas été fomentée, du moins initialement, pour nuire au parti républicain et à lui-même en particulier. Bien au contraire, nous savons que cette affaire a surgi dans ce que les analystes certifiés conformes ont appelé la théorie du complot du Pizzagate. Un Pizzagate qui eut un retentissement colossal durant l’année 2016 et qui diabolisa littéralement Hillary Clinton et son équipe au profit d’un certain Donald Trump qui remporta les élections de fin d’année.
On a du mal à imaginer, aujourd’hui en France, l’influence de cette affaire phénoménale sur l’électorat américain de l’époque. Elle fut pourtant décisive. La concurrente démocrate de Trump, Hillary Clinton, était alors accusée, à la suite de la diffusion du piratage des courriels de toute son équipe de campagne, d’être à la tête d’un réseau pédocriminel et sadique à côté de son numéro un, John Podesta, accusé d’être un prédateur d’enfants avec son frère Tony, collectionneur d’œuvres d’art pédo-satanistes. Tout un réseau qui aurait tourné autour du restaurant kid friendly Comet Ping Pong de Washington tenu par un certain James Alefantis. Les media ont vite parlé d’une théorie du complot mais c’est bien le patron du FBI du moment, James Comey, qui a enquêté plusieurs mois sur les étranges messages codés de l’équipe démocrate agissant autour de Hillary Clinton. Certains de ces messages étranges, diffusés par Wikileaks, furent l’objet d’un essai de traduction par une légion de chercheurs de vérité tout à la fois révoltés et passionnés par ce jargon qui, crurent-ils rapidement, appartenait à la thématique pédophile et sadique.
Une dynamique “conspirationniste” se développa. Certains mots, certaines phrases incompréhensibles détectés dans les courriels de Clinton et de John Podesta furent traduits par « petites filles », “garçons”, « petits garçons », “sacrifices”… Quand James Comey (membre du parti républicain) abandonna son enquête sur ces courriels pour le moins mystérieux, il était trop tard. Des millions d’internautes suivaient les enquêtes des anonymes sur la toile et la plupart d’entre eux étaient convaincus, à l’automne 2016, que le parti démocrate était gangrené par la pire des pédophilies.
Ce feuilleton du Pizzagate, qui repose, il faut l’avouer, sur des éléments sérieux (les références pédophiles dans l’univers démocrate de Washington sont innombrables), fut quelques semaines avant les élections de 2016 alimenté par une nouvelle affaire, celle de Jeffrey Epstein. Et cette intrusion n’était probablement pas prévue au programme.

L’AMI PERVERS DE BILL CLINTON

A la fin de l’année 2004, le majordome de Jeffrey Epstein, un certain Alfredo Rodriguez, apeuré à l’idée d’être éliminé pour ce qu’il savait, déroba le carnet de son patron avant de prendre la fuite. L’homme a cru pouvoir se protéger du milliardaire et de son réseau avec le fameux carnet noir de son maître. Le document, qui constitue principalement un énorme carnet d’adresses, lui fut certainement d’un grand secours tant qu’il n’eût pas la faiblesse de vendre ces données, dix ans plus tard, à un tiers. Peut-être désargenté, et se croyant certainement indétectable, caché quelque part dans l’immensité américaine, Alfredo Rodriguez a vendu en 2015 la copie du carnet noir d’Epstein à un site d’informations en plein boum à ce moment, Gawker. Rodriguez, qui avait perdu sa meilleure défense en diffusant les données du Carnet noir, mourra quelques semaines plus tard d’une maladie foudroyante provoquée par une inhalation excessive d’amiante. Le site Gawker paya également très cher la publication de ces données et disparut sous une avalanche de plaintes après ces révélations.
Néanmoins, dans un premier temps, la mise en lumière du cas Epstein servit le narratif des experts du Pizzagate qui ciblaient alors exclusivement l’univers des Démocrates. Puisque Epstein était un agent des réseaux pédophiles, il était nécessairement lié à la galaxie des Clinton et de leurs financiers. Et en effet, Bill Clinton connaissait très bien Jeffrey Epstein comme l’attestent les nombreuses photos et vidéos où l’on voit les deux hommes ensemble, et les 26 embarquements de l’ancien président à bord de l’avion privé d’Epstein de 2001 à 2003. Il y avait donc dans l’esprit des “complotistes” une connexion entre Epstein et les élites du camp démocrate. Et force est de constater que la mise en exergue de cette éventuelle connexion a été dévastatrice pour ce dernier. A quelques mois des élections, les milliers de “complotistes” se sont en effet échinés à prouver l’existence d’un microcosme démocrate essentiellement pédophile et sadique.

LE TEMPS DU SAUVEUR

Naturellement, pour eux, en 2016 et jusqu’à il y a peu, Donald Trump incarnait le chevalier blanc qui allait démanteler ce sordide réseau et mettre en prison tous ses protagonistes. L’actuel président américain déclarait lui-même à la télévision, dans un duel avec Hillary Clinton, qu’il s’empresserait de la faire incarcérer une fois élu à la Maison-Blanche.
Assurément Trump a surfé sur cette vague complotiste qui lui était entièrement favorable. Et il a glissé dessus d’autant plus facilement que le camp démocrate se défendait extrêmement mal.

OBJECTIF COMPLOT !

Pour avoir étudié de près le Pizzagate en 2016, je me rappelle toutes les vidéos et photos particulièrement ambiguës que déversaient sur des sites et autres blogs les John et Tony Podesta, les Weiner, les James Alefantis : des bébés avec des billets dans une main, des poupées, un lycaon embrassé par un homme, des caves sombres, un maillot sur lequel est écrit « J’aime l’Enfant », une fillette attachée sur une table… […]


François-Xavier ROCHETTE.