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n°3681 du 29/10/2025 (Papier)

Editorial

Braun-Pivet appelle à plus taxer les héritages : on va spolier les Français au nom de la dette !

ET VOILÀ QUE désormais le pouvoir veut s’en prendre aux héritages, alors même que la France a déjà la taxation de la transmission la plus lourde ! Yaël Braun-Pivet, la présidente macroniste et israélite de l’Assemblée nationale, a osé déclarer le 15 octobre sur France 2 qu’il fallait « taxer davantage les héritages », « ce truc qui tombe du ciel » (sic !) On voit là le mépris de la détestable Braun-Pivet, qui est de surcroît d’un sionisme tellement incandescent qu’elle avait eu des haut-le-cœur quand un député avait agité quelques instants un drapeau palestinien dans l’enceinte du Palais-Bourbon. 
Parler avec condescendance de « truc qui tombe du ciel » à propos de la transmission d’un bien à ses enfants ou à ses petits-enfants est une infamie. Combien en effet de nos compatriotes se saignent aux quatre veines pour pouvoir entretenir, conserver, embellir et transmettre un bien immobilier, l’appartement ou la maison où ils ont passé leur enfance et leur jeunesse, où parfois habitaient déjà leurs parents ou leurs grands-parentsc Et quoi de plus légitime, de plus naturel que de transmettre ce bien à sa progéniture ? Même si c’est hélas de plus en plus rare, il est magnifique et émouvant de voir des maisons, des fermes, des villas, des manoirs, des châteaux, des domaines qui sont restés depuis plusieurs générations, voire parfois depuis plusieurs siècles, au sein de la même famille. Il est tellement de souvenirs attachés à une propriété depuis longtemps acquise. Cela favorise le sentiment d’enracinement dans un terroir, d’appartenance à une lignée. Toutes choses que détestent les macronistes, un homme nomade comme Alain Minc, une planétarienne comme Braun-Pivet, un banquier d’affaires comme Macron, un mondialiste comme Attali pour lequel une nation est un hôtel. Tous ces gens vont d’un tarmac à un autre dans le village planétaire et n’ont aucun attachement à une terre, à une contrée, à une nation, si ce n’est à l’entité sioniste qui est un Etat artificiel qui n’a ni frontières ni Constitution et qui n’est que le fruit pourri de la finance internationale, de la puissance des Rothschild. 

VOULOIR TAXER davantage les héritages est une folie mais qu’on présente comme une nécessité pour réduire la dette et les déficits abyssaux. On peut d’ailleurs se demander si l’on n’a pas fait exprès de creuser la dette pour précisément pouvoir s’en prendre aux héritages et, n’en doutons pas, à l’épargne des Français qui sont les deux derniers domaines où les rapaces de la finance anonyme et vagabonde peuvent espérer récupérer des centaines voire des milliers de milliards d’euros. Ainsi, du fait de la gestion volontairement suicidaire de la crise covidesque — alors que ce virus dont l’origine est très suspecte n’avait qu’une létalité très faible —, la dette a augmenté sous Macron de mille milliards d’euros supplémentaires. Ce qui était parfaitement évitable. Il n’y avait aucune nécessité de mettre le pays à l’arrêt. N’oublions pas non plus les propos cyniques de Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial de Davos : « En 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ». 
Il s’agit ni plus ni moins que de déposséder, de ruiner notre pays et notre peuple. Cela participe aussi du Grand Remplacement et de la Grande Réinitialisation dont le covid a été le prétexte et le prélude. Au nom de la sacro-sainte lutte contre la dette et les déficits publics, ils vont tout prendre, il faut en avoir conscience. Les bas de laine des Français. Leurs maisons et leurs appartements. Certes, cela ne se fera pas en un jour mais de manière graduelle. Toutefois l’objectif est bien là. Et gageons qu’après la présidentielle de 2027, quel que soit l’élu, on s’en prendra massivement à l’épargne et au patrimoine des Français, car, on nous le dit assez, il faut que les riches paient, qu’ils rendent gorge. 
Mais qu’entend-on précisément par riche ? Disposer d’un appartement ou d’une maison qu’on a passé quasiment toute sa vie à rembourser à la banque, après avoir payé de forts intérêts, est-ce être riche ? Est-ce abuser ? Non, Madame Braun-Pivet, ce bien « ne tombe pas du ciel ». Il est le fruit de la sueur et des larmes, d’un dur labeur. Il a souvent exigé des sacrifices, une renonciation à des loisirs, à des voyages. Mais, on l’a compris, on ne veut plus de propriétaires, on ne veut que des locataires survivant avec de modestes allocations, une maigre pitance. C’est toujours la même haine révolutionnaire contre la propriété privée, la même jalousie contre le “possédant” qui en réalité a souvent dû travailler une grande partie de son existence pour obtenir enfin un petit chez soi qu’il souhaite, avant de quitter ce monde, transmettre à ses enfants. 

LORSQUE l’on parle d’héritage, il faut préciser que la France est hélas le pays qui taxe le plus les donations et les successions. Alors que nous avons déjà le taux le plus élevé au monde de prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales), la taxation sur le patrimoine est également la plus lourde. Si l’on se concentre sur les successions en ligne directe (père, mère, enfant, petit-enfant), le taux d’imposition maximal français (45 %) est trois fois supérieur à la moyenne des pays de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) qui est de 15 %. Quant à l’abattement sur les droits de succession en ligne directe, il s’élève à seulement 100 000 euros en France, depuis la présidence du socialiste François Hollande en 2012, ce qui est une somme dérisoire pour un bien immobilier, contre 337 000 dollars au Japon, 456 000 dollars en Allemagne, 641 000 dollars au Royaume-Uni, 1,14 million de dollars en Italie et 11,5 millions de dollars aux États-Unis, selon une étude de l’OCDE.
Il faut également savoir que douze pays de l’OCDE ont purement et simplement supprimé l’impôt sur les successions — ce qui, soit dit en passant, était autrefois en toutes lettres au programme du Front national avant le détestable aggiornamento opéré par Marine Le Pen — comme la Suède, la Norvège, la République tchèque ou encore le Canada. Et, nous apprend Le Figaro, « alors qu’au sein de l’OCDE, le produit des droits de succession connaît un déclin depuis la fin des années 1960, la France fait figure d’exception, note la Cour des comptes dans un rapport de juin 2024. Dans l’Hexagone, le montant des recettes des seuls droits de succession a plus que doublé entre 2011 (7 milliards d’euros) et 2023 (16,6 milliards d’euros), selon la Cour des comptes. »
La Fondation Jean Jaurès estime, quant à elle, qu’au cours des quinze prochaines années, du fait de la disparition des boomers qui avaient profité de la croissance et du plein emploi des Trente Glorieuses pour pouvoir disposer d’un certain patrimoine, à une époque où de surcroît l’immobilier était beaucoup mois onéreux qu’aujourd’hui, la France connaîtra « le plus grand transfert de richesse de son histoire contemporaine. Plus de 9000 milliards d’euros de patrimoine détenu par les Français les plus âgés seront transmis à leurs enfants ». Et fin 2024 le niveau d’épargne réglementée des Français (livrets, plans d’épargne…) a atteint 956 milliards d’euros. De quoi susciter bien des convoitises. Rappelons que la dette publique en France au deuxième trimestre 2025 — dernier chiffre connu — était de 3416, 3 milliards d’euros, soit 115,6 % du Produit intérieur brut. S’en prendre à l’épargne des Français et à leur patrimoine immobilier est le seul moyen pour les pouvoirs publics, du moins le prétendront-ils, de réduire de manière drastique et rapide l’endettement du pays. On vous vole, on vous spolie, on vous dépouille, mais, rassurez-vous, braves gens, c’est pour la bonne cause, c’est pour réduire la dette et les déficits, c’est pour payer ce que l’on doit à des fonds de pension américains, à des groupes bancaires, à des consortiums, à des compagnies d’assurance.
Il ne faut se faire aucune illusion : dans les années qui viennent, la taxation des patrimoines, déjà parmi la plus élevée au monde, va s’accroître considérablement et va confiner à une véritable confiscation, à une totale spoliation. L’Etat cosmopolite est le plus grand voleur, le plus détestable escroc qui soit. On nous vole nos terres, nos biens, nos enfants, nos âmes. Lorsque les manifestants du 6 février 1934 criaient « à bas les voleurs ! », ce n’était pas seulement une clameur dirigée contre les corrompus qui gouvernaient le pays, c’était plus profondément encore une protestation vive et radicale, spontanée et enflammée, contre un régime oppressif reposant sur la prédation des richesses matérielles et immatérielles, la spoliation d’un patrimoine, l’assassinat de l’âme de notre pays, de sa foi, de son histoire, de ses traditions. Finalement les choses n’ont pas tellement changé depuis, même si, en près d’un siècle, elles se sont encore fortement aggravées.

RIVAROL,<jeromebourbon@yahoo.fr>.

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Billet hebdomadaire

Quel avenir pour RIVAROL ?

A DEUX MOIS de la fin de l’année 2025, il nous paraît important de faire à nouveau un point sur la situation actuelle de RIVAROL et sur son avenir, ce que nous n’avions pas encore fait depuis la rentrée. Grâce à votre mobilisation exceptionnelle depuis le printemps, nous avons pu atteindre tous nos objectifs. Nous ne vous remercierons jamais assez pour ces marques profondes, sincères et émouvantes, d’attachement et de dévouement envers l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne. La grande presse, et notamment Le Monde du 13 juin 2025, annonçait avec gourmandise notre disparition imminente, la claironnait, l’anticipait, s’en félicitait bruyamment. Tous nos ennemis en seront une nouvelle fois pour leur frais. Tant mieux !
Sauf catastrophe imprévisible, comme par exemple une brusque interdiction du titre, RIVAROL non seulement finira l’année 2025 mais continuera à paraître en 2026. A la fois en version papier et en version numérique. A la fois sur abonnement et dans les magasins de presse, là en tout cas où on accepte encore de nous exposer et de nous vendre. Grâce à vous, RIVAROL est sauvé !

UNE VICTOIRE QUI EST LA VÔTRE

C’est une formidable victoire qui n’était nullement gagnée d’avance et que nous vous devons entièrement. Merci du fond du cœur à tous nos amis et bienfaiteurs. L’aide généreuse que vous nous avait apportée ces derniers mois décuple notre combativité, notre ardeur au combat, notre enthousiasme, notre ferveur. Plus que jamais nous souhaitons, nous voulons absolument que RIVAROL, la doyenne des publications imprimées de la droite nationale et nationaliste, vive, dure et perdure. Etre et durer, telle est la belle devise des unités parachutistes que nous faisons pleinement nôtre.
Nous vous annonçons d’ores et déjà la préparation d’une édition spéciale, collector, historique, pour les 75 ans de RIVAROL. Ce sera le numéro 3692 daté du mercredi 21 janvier 2026, notre premier numéro datant, lui, du jeudi 18 janvier 1951. Cette édition spéciale pour nos trois quarts de siècle aura un tirage et une pagination beaucoup plus importants que les numéros ordinaires et restera cinq semaines en kiosque jusqu’au mardi 24 février 2026 inclusivement — même s’il y aura bien sûr chaque semaine comme d’habitude un nouveau numéro de RIVAROL pendant cette période —. 
Si, grâce à vous, notre situation est donc meilleure qu’elle ne l’était au printemps dernier, lorsque nous vous avons adressé un vibrant appel à l’aide, et que, sauf tragique coup du sort, notre existence n’est a priori plus menacée à très court terme, il n’en reste pas moins que nous n’avons pas éloigné tous les nuages noirs qui s’accumulent au-dessus de nous et que, s’il n’est plus nécessaire en l’état d’appeler à une mobilisation aussi massive et exceptionnelle que celle dont nous avons bénéficié ces derniers mois, il convient toutefois de ne pas totalement relâcher l’effort et de continuer à nous aider, fût-ce plus modestement, par vos dons et surtout par vos abonnements, par votre militantisme aussi, en faisant connaître RIVAROL autour de vous, en le diffusant, en le répandant. 
Car nous devons faire face dans les mois et les années qui viennent à une quadruple difficulté : les nombreux procès qui nous sont intentés (une douzaine environ à venir), la contraction des réseaux de distribution, l’inflation des coûts de production et l’insuffisance de renouvellement de notre lectorat, une donnée structurelle qui vaut d’ailleurs pour toute la presse écrite et même au-delà pour tout le monde de l’édition.

UNE DOUZAINE DE PROCÈS À VENIR

Le collectif anonyme Stoppons RIVAROL, créé le 28 juin 2023 avec l’intention explicite de nous faire disparaître, et qui compte des avocats de la LICRA et d’autres organisations juives, a exprimé cet été sa ferme volonté de multiplier et d’accélérer les procédures judiciaires contre notre hebdomadaire et son directeur afin de nous asphyxier et de nous éliminer le plus rapidement possible. Il a joint l’acte à la parole puisque toute une série de poursuites ont été engagées contre nous. Il y a eu d’abord les procédures au civil, à Bruxelles, pour les dérisoires affaires Martine et Tintin. Ces procès sont désormais derrière nous mais cela nous a coûté en tout la coquette somme de 22 000 euros, ce qui a d’autant réduit notre déjà faible trésorerie ! Tout cela pour de très modestes visuels, de 2023 et 2024, sans aucune intention malveillante et avec un caractère parodique manifeste pour qui fait preuve de simple honnêteté intellectuelle. Mais tout est bon pour nous mettre des bâtons dans les roues.
Par ailleurs, le jeudi 6 novembre, nous sommes convoqués une nouvelle fois devant la BRDP (Brigade de répression de la délinquance contre la personne) rue du Bastion à Paris pour six nouveaux dossiers qui donneront lieu, selon toute vraisemblance, à autant de procès. Trois dossiers concernent la publication dans RIVAROL de trois articles de Vincent Reynouard parus en 2024 et en 2025 poursuivis pour contestation publique de crimes contre l’humanité. Et trois autres dossiers concernent, pour l’un, un article de Jean-Philippe Robiquet du 2 juillet 2025 mis en cause pour provocation publique à la haine, pour le deuxième, un éditorial du 4 juin 2025 de votre serviteur, intitulé « Dreyfus honoré, la France humiliée », pour le dernier, des propos tenus lors de deux entretiens rivaroliens, les 65e et 67e, de mai et de juillet 2025.
A cela s’ajoutent cinq autres procédures, toujours au pénal, un procès devant la XVIIe chambre du tribunal judiciaire de Paris à la mi-décembre pour une vidéo du 7 août 2021 au site Le Réveil des moutons pour avoir brièvement évoqué « le lobby juif », un procès pour la grande interview de Dieudonné parue dans notre édition du 26 juillet 2023, une poursuite pour l’éditorial du 13 septembre 2023 dénonçant la répression impitoyable contre les dissidents, deux poursuites du général Reiland pour diffamation publique envers un fonctionnaire pour avoir dénoncé dans un éditorial, puis dans une vidéo, ses propos consistant à se féliciter de la traque de Vincent Reynouard en Ecosse.
Enfin, nous avons reçu il y a quelques jours une réquisition judiciaire pour un montage-photo paru dans notre numéro 3668 du 2 juillet 2025 et qui mettait en cause l’entité sioniste. Ce que manifestement on n’a pas le droit de faire dans notre pays vu la puissance et l’influence d’une certaine coterie.
Donc douze procès à venir — sans compter ceux annoncés tout récemment par l’Observatoire juif de France (OJDF) —, ce qui est un record en si peu de temps. C’est pourquoi nous avons et nous aurons besoin de votre soutien constant. Par les dons et les abonnements qui sont les seules ressources du journal puisque nous ne disposons d’aucune autre aide, d’aucune subvention et que de surcroît, depuis l’été 2022, nous sommes scandaleusement chassés d’un très grand nombre de points de vente de la presse.

LA PRESSE IMPRIMÉE ET LIBRE DOIT RÉSISTER

A ces difficultés, déjà considérables en soi, s’ajoutent la réduction continue des points de vente de la presse en France — on en perd 2000 par an, la moitié a disparu en une vingtaine d’années ! —, l’augmentation des coûts du papier et de distribution, l’inflation des tarifs postaux et l’érosion du lectorat. Les générations qui s’en vont ne sont pas, ou pas assez, remplacées par les plus jeunes. Ce qui menace, à court ou moyen terme, le modèle économique de l’édition en général et de la presse imprimée en particulier. D’après nos informations, si rien ne change, si la spirale actuelle se poursuit voire s’amplifie, la presse papier (journaux et magazines) pourrait disparaître dans les cinq ans qui viennent. Le quotidien Les Echos abandonne déjà dans un an le papier pour n’offrir qu’une édition numérique. L’enseigne Monoprix a renoncé à la plupart de ses rayons presse. D’autres groupes pourraient suivre. Les maisons de la presse ferment les unes après les autres. Les kiosques se raréfient. C’est l’agonie de la civilisation Gutenberg. Et c’est bien triste car on ne lit pas de la même façon sur Internet, avec un téléphone, une tablette ou un ordinateur, qu’un journal, une revue ou un livre imprimés. Lesquels permettent une réflexion et une analyse approfondies et ne se contentent pas de textes courts et superficiels ou de simples slogans. Se crée sous nos yeux ébaubis une société d’abrutis, d’individus scotchés à leur téléphone mobile et faisant défiler à toute vitesse des images ou des textes qu’ils ne lisent même pas ou à peine. C’est dramatique. Et cette funeste évolution est voulue car les pouvoirs publics et tous les puissants n’ont aucun intérêt à avoir en face d’eux des personnes à l’esprit critique aiguisé, aux convictions fortes, à la doctrine solide et aux connaissances étendues. Il est plus facile de manipuler des imbéciles.
C’est pourquoi il ne faut reculer devant aucun sacrifice, aucun effort pour que perdure un journal irremplaçable comme RIVAROL qui n’est soumis à aucun lobby, aucune entité, aucune secte, et qui n’écoute que son courage pour débusquer les mensonges et les impostures et servir humblement la vérité.
D’ici la période de Noël, pourquoi ne pas offrir — ou vous offrir — un abonnement à RIVAROL (voir le bulletin d’abonnement page ci-contre) ? Plus nous aurons d’abonnements — papier et numériques —, plus notre situation sera solide et pérenne. Moins nous en aurons, plus elle sera fragile, tendue et précaire. Nous ne pourrons résister durablement à tant d’adversités que si les abonnements se font nombreux. Et quelle meilleure période que celle de la fin d’année pour faire à RIVAROL un magnifique cadeau de Noël ?
[…]

Jérôme BOURBON.