C’EST L’HYSTÉRIE. La simple célébration d’un office (hélas selon le rite de Paul VI) à 10h45 le samedi 15 novembre dans l’église Saint-Jean-Baptiste à Verdun pour le repos de l’âme du maréchal Pétain et des soldats tués ou blessés pendant la Grande Guerre à l’initiative de l’ADMP, l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain, a suscité la fureur du Système. Tout est parti de la décision du maire divers gauche de Verdun, le très excité Samuel Hazard, d’interdire par arrêté municipal le 10 novembre la célébration de cette cérémonie. « Je n’accepterai jamais qu’une messe soit célébrée à Verdun en hommage à Pétain, frappé d’indignité nationale en 1945 et donc déchu, entre autres, de son grade militaire », avait publié l’édile sur les réseaux sociaux, dans un communiqué adressé à ses administrés. « Verdun est la cité de l’Universalité. Pétain est l’antithèse de l’Humanité », avait-il ajouté, faisant part de son « dégoût et de (sa) très vive colère ». La cérémonie religieuse « va générer à l’évidence des troubles à l’ordre public », déclarait encore Samuel Hazard qui agit en l’occurrence en pompier pyromane, car c’est lui qui crée artificiellement pour des raisons idéologiques un trouble à l’ordre public.
Rappelons d’abord que, contrairement à ce qu’affirment le maire de Verdun et la plupart des dépêches et des politiciens qui se disent indignés par une telle cérémonie, une intention de messe pour un défunt n’est nullement un hommage, une glorification ou une canonisation de la personne décédée. Il s’agit seulement de prier pour le repos de son âme, pour que le Bon Dieu daigne lui pardonner ses péchés et récompenser ses bonnes actions. On mesure dans cette affaire l’étendue aujourd’hui abyssale de l’inculture religieuse, y compris parmi les édiles et toute la gent politique et journalistique. De plus, le mois de novembre est traditionnellement consacré à la dévotion en faveur des âmes du purgatoire et le 11 novembre marquant l’anniversaire de l’armistice de 1918, il est tout à fait légitime de prier pour le repos de l’âme de tous les combattants de la Grande Guerre.
L’ADMP N’ACCEPTANT pas cette décision arbitraire de l’édile a saisi en référé le tribunal administratif de Nancy le 12 novembre qui, deux jours plus tard, a donné raison à l’association dans une ordonnance juridiquement très motivée en suspendant l’arrêté du maire de Verdun. Preuve que Thémis peut parfois rendre encore des jugements de bon sens. Rappelant que la liberté de culte présente le caractère d’une liberté fondamentale, le tribunal a estimé que la mairie n’apportait pas la preuve que la cérémonie prévue le 15 novembre, avec l’accord des « autorités diocésaines », constituait un trouble à l’ordre public. On lira ce passage particulièrement succulent de l’ordonnance, dont la liberté de ton et d’esprit peut agréablement surprendre dans notre triste époque : « Si le maire de la commune de Verdun a relevé, au soutien de son interdiction, un “contexte national où l’antisémitisme connaît une augmentation sans précédent”, il n’apporte aucun élément de nature à caractériser une recrudescence particulière des actes antisémites dans sa commune ou ses environs. » C’est la première fois que nous lisons sous la plume de magistrats la nécessité d’apporter des preuves, des faits concrets et précis pour justifier des propos évoquant une flambée de l’antisémitisme. D’habitude, il suffit qu’on dénonce, sans le moindre début de commencement de preuve, une augmentation vertigineuse des actes d’antisémitisme pour que tout le monde se couche, se lamente, gémisse, exige des sanctions toujours plus lourdes contre les supposés coupables et la mise en œuvre de nouvelles législations toujours plus répressives, là le tribunal demande des preuves. Dans le contexte actuel, c’est d’une hardiesse inouïe. Si on commence à demander des preuves, où va-t-on ? On ne pourrait plus alors ruiner ou embastiller les révisionnistes !
Et l’ordonnance de poursuivre de manière tout aussi ferme : « Les éléments produits en défense par la commune, si elles caractérisent des réactions de protestation quant à la tenue de cette cérémonie, notamment de la part du consistoire régional de Lorraine, ne justifient toutefois pas de l’existence d’un risque de troubles à l’ordre public. Enfin, si un risque de désordre ne peut être complètement exclu, il ne résulte pas de l’instruction que le maire de Verdun ne pourrait y faire face par de simples mesures de sécurité. » Tenir pour négligeable l’avis du consistoire israélite de Lorraine, considérer que son opposition publique à la cérémonie n’est pas suffisante pour interdire l’office pour le repos de l’âme du Maréchal dénotent là encore un certain courage intellectuel qui ne laisse pas d’étonner de la part de la magistrature dont la bravoure et l’indépendance d’esprit ne sont généralement pas les qualités premières.
LE MAIRE de Verdun a été rendu fou furieux par cette ordonnance du tribunal administratif de Nancy à laquelle manifestement il ne s’attendait pas. En bon démocrate, il a donc organisé, avec une centaine de manifestants de gauche, syndicalistes et antifascistes, une manifestation devant l’église Saint-Jean-Baptiste afin que la cérémonie religieuse n’ait pas lieu. Ou au moins dans le but de la perturber. C’est sa conception de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat. Une loi en soi détestable qui a conduit à la persécution voire à la déportation des congrégations religieuses et à l’expropriation des biens de l’Eglise en 1905, le plus grand vol de l’histoire, mais qui aujourd’hui est censée, au moins officiellement, protéger le clergé et les fidèles des immixtions et des oukases des politiques. Or là, c’est le maire qui, au nom de son idéologie, décide qui est ou non un bon chrétien, qui peut ou non assister à un office religieux, quelle intention de messe on a ou non le droit d’accepter. C’est ahurissant. Et c’est là un précédent très inquiétant. On persécute déjà les écoles catholiques hors contrat au nom du socle commun des connaissances exigé par l’Education nationale, au nom de la laïcité et de l’idéologie dite anti-discriminatoire qui impose la lutte contre l’homophobie et la transphobie. Et voilà que désormais l’on veut interdire la célébration de cérémonie religieuse parce que l’intention de messe ne plaît pas. A ce stade, on n’est plus très loin de la persécution ouverte. Comme le chien de l’Ecriture qui retourne à ses vomissures, l’abject et infect régime républicain, judéo-maçonnique, d’essence satanique, en revient toujours à la loi des suspects et au règne de la Terreur. C’est son ADN. C’est sa nature profonde.
Aujourd’hui, on veut interdire une messe pour le repos de l’âme du maréchal Pétain. Mais demain on peut aussi l’empêcher pour Jean-Marie Le Pen, pour Maurras, pour Franco, pour Salazar, pour José Antonio, pour toutes les personnalités détestées par la gauche et le Lobby. Une manifestante âgée portait une pancarte : « Catho, pas facho ». Est-ce à dire que pour cette « paroissienne conciliaire » les “fachos” (ou prétendus tels) n’ont pas le droit qu’on prie, une fois morts, pour le repos de leur âme, pour la rémission de leurs péchés ? Drôle de conception de la charité qui est pourtant universelle et qui ne souffre aucune exception. On mesure à quel point on vit dans des temps de confusion, une époque marquée par la dureté des cœurs et le refroidissement de la charité.
ALORS QUE l’office devait être public, la porte principale de l’église a été fermée et les participants — neuf au total ! — ont dû pénétrer par une petite porte arrière, certains maréchalistes voulant entrer ayant été refoulés par le préfet de la Meuse, présent sur place, et par un cordon de plusieurs dizaines de gendarmes groupés pour l’événement — la maréchaussée n’a-t-elle pas de missions plus urgentes à remplir dans notre pays ? — tandis que les manifestants contre cette cérémonie insultaient les personnes assistant ou voulant assister à l’office. Et comme si toute cette agitation ne suffisait pas, on a appris ce lundi 17 novembre qu’une enquête préliminaire était ouverte pour « contestation de l’existence de crime contre l’humanité commis durant la Seconde Guerre mondiale » contre Jacques Boncompain, le président octogénaire de l’ADMP qui, à la sortie de la cérémonie, avait déclaré à des journalistes qui l’interrogeaient que « le Maréchal Pétain avait été le premier résistant de France » et qu’il « avait sauvé 700 000 Juifs », ainsi que pour « tenue d’une réunion politique dans un local servant habituellement à l’exercice d’un culte » (sic !), a précisé Delphine Moncuit, procureur de la République de Verdun. Au fou ! Mieux encore, l’enquête vise le clerc conciliaire de 31 ans, Gautier Luquin, qui a célébré l’office, pour, tenez-vous bien, « provocation par ministre du culte à la résistance à l’exécution des lois ou actes de l’autorité publique ». Alors même que le tribunal administratif de Nancy avait autorisé la cérémonie, que l’office n’a duré que vingt minutes, que le célébrant n’a prononcé aucun sermon et qu’aucun tract ni aucun autre document n’a été distribué dans l’église. Pis encore, interrogée par l’AFP, la préfecture de la Meuse a précisé qu’un aspect de cette procédure était « la perspective éventuelle de la dissolution » de l’ADMP, pas moins, une décision qui relève du ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez, et qui semble sérieusement envisagée alors même que l’ADMP existe sans discontinuité depuis 1951 et qu’elle a toujours été parfaitement pacifique voire légaliste. Quant à Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, elle a déclaré : « Cette plainte (du préfet de la Meuse contre le président de l’ADMP pour propos révisionnistes) devrait permettre à l’avenir de faire interdire ce type de manifestation. Parce qu’en tout état de cause, on a des éléments suffisants pour démontrer qu’il y a réellement un trouble à l’ordre public. » C’est bien en effet le but de la manœuvre. Créer artificiellement un trouble à l’ordre public pour pouvoir interdire à l’avenir toute initiative de ce type. Voilà où nous en sommes en 2025. C’est proprement terrifiant.
Et il ne faut pas compter sur qui que ce soit dans la classe politique pour défendre le Maréchal Pétain, ou tout simplement le droit de célébrer un office pour le repos de son âme. Il est loin le temps où Jean-Marie Le Pen défendait le Maréchal dans nos colonnes, ce qui lui a d’ailleurs valu d’être exclu par sa fille du parti qu’il avait fondé ! Que ne faut-il pas faire pour complaire à la Synagogue ! Aujourd’hui le Front national devenu Rassemblement national hurle avec les loups et tient le même discours que le gouvernement, Olivier Faure ou Jean-Luc Mélenchon. Sébastien Chenu, le vice-président du RN, a ainsi déclaré : « Le maréchal Pétain a été le vainqueur de 14-18, mais il a surtout été la honte absolue ensuite. On ne célèbre pas le maréchal Pétain en France. » Julien Odoul, le porte-parole du RN, a pareillement déclaré : « Pétain a trahi la France, collaboré avec l’ennemi allemand en le laissant martyriser notre peuple, enterré la République, décrété un abominable statut des juifs. Aucune messe. Aucun hommage. Aucune réhabilitation pour ce sinistre personnage » (sic !) Jordan Bardella, le président du RN, qui au printemps dernier se prosternait devant Netanyahu à Jérusalem, est tout aussi lamentable. Interrogé le 16 novembre sur France 3, il a déclaré : « Je pense que le préfet a eu raison de soutenir cette démarche face à des propos nauséabonds. Je ne savais pas qu’il y avait des messes rendues, même dans des cadres privés, encore aujourd’hui en 2025, pour le maréchal Pétain qui a serré la main de Hitler et livré l’honneur et la dignité de notre pays à l’occupant allemand. Ça me met mal à l’aise comme beaucoup de Français. » Et dire qu’il est encore des imbéciles pour nous dire que le FN-RN n’a pas tellement changé ! Non, les actuels dirigeants du RN sont des traîtres, des vendus et des lâches, de véritables serpillières devant le Lobby. Ils ne méritent que notre profond mépris.
RIVAROL,<jeromebourbon@yahoo.fr>.
PTout petit déjà, j’entendais dire que l’homme était en train de provoquer la fin du monde par ses bêtises. D’abord, la bombe atomique a détraqué le temps. Puis, avec la Détente ça a changé. En 68, il y a eu la bombe P, le best-seller de Paul Ehrlich : on allait tous mourir à cause de la surpopulation. Mais le scénario n’était pas bon : la menace venait du Sud pauvre qui fait beaucoup d’enfants. Il fallut trouver un autre méchant. Ce fut le Nord développé, qui abîme la planète par son activité. En 1971, un laboratoire d’idées malthusien, le club de Rome, préconisa de stopper la croissance sous peine d’effondrement économique et environnemental. Dès 1969, le secrétaire général de l’ONU, U Thant, avait crié : « Il nous reste dix ans pour sauver la terre ». Depuis, les prophètes ont progressé. La banquise du pôle Nord a fondu en 2015 selon Al Gore, le monde n’est plus vivable depuis 2023 selon Greta Thunberg. Quant à l’actuel patron de l’ONU, Antonio Guterres, il a inventé « l’ébullition climatique ». La planète bout, nous bouillons, vous bouillez.
Les menaces varient. Avant le réchauffement, il y a eu les pluies acides, le trou d’ozone, l’hiver nucléaire. S’y ajoutent la surpopulation et les pandémies. Elles sont également incertaines, elles reposent sur des projections, des modèles mathématiques, non sur des mesures : les marégraphes ne relèvent pas de hausse extraordinaire du niveau des mers, la glace du pôle Sud croît, les ours blancs sont sept fois plus nombreux qu’il y a cinquante ans. Il existe pourtant des certitudes. Ces certitudes sont politiques. D’abord, l’ONU est depuis l’origine engagée dans ce récit de la peur. En 1972, elle a lancé la première conférence sur l’environnement à Stockholm et le slogan de développement durable. Puis il y a eu les protocoles de Montréal en 1987 sur les CFC, et de Kyoto en 1997 sur les gaz à effet de serre, la conférence de la terre à Rio en 1992, mère des COP dont la dernière, la COP 30, se tient en ce moment. Ces conférences fixent des “agendas”, des objectifs.
Par exemple, la chasse aux émissions de gaz à effet de serre encadre l’activité des nations et des sous-ensembles continentaux, tels que l’Union européenne. Des entreprises et des particuliers. Deuxième certitude, dès le début, la défense de l’environnement est liée à l’unification politique de la planète. Edgar Morin a découvert son « patriotisme planétaire » en 1968 chez les écolos californiens. La menace étant mondiale, les dirigeants du monde doivent travailler ensemble à y parer. Prenons l’exemple du CO2. En décidant d’en limiter les émissions, on a changé la façon de produire, de consommer, de vivre, du monde entier. Il faut faire pipi sous la douche, stopper la viande et la clim, installer des panneaux solaires, rouler chinois et cesser d’investir dans le pétrole. Une immense activité géopolitique entraîne une immense révolution juridique, industrielle, agricole, économique, sociétale et spirituelle.
Tout cela se fonde sur une menace incertaine. Autrement dit, la communauté internationale répand la peur pour imposer aux peuples de changer. Cela nous force à préciser notre vocabulaire. Il n’y a pas de catastrophisme climatique, maladie de l’esprit qui pousse à voir des catastrophes partout, puisqu’il existe une volonté réelle de provoquer la peur. Cette volonté interdit aussi de parler d’alarmisme climatique. On sonne en effet l’alarme pour avertir d’un danger. Or la révolution invente au contraire des dangers imaginaires pour manipuler les peuples et rendre inaudible l’alarme contre les véritables dangers, invasion, dénatalité, déclin de civilisation. Le mot idoine est donc terrorisme. Terrorisme des élites contre les peuples.
A quoi sert ce terrorisme climatique ? Autrement dit, quel est l’objectif réel des élites qui gouvernent par la peur ? Il faut le demander directement aux grands commis des institutions internationales qui s’en occupent. Il existe une nomenklatura internationale de diplomates et de fonctionnaires gravitant autour de l’ONU et d’autres institutions. Le GIEC en fait partie. En 1988, l’ONU parrainait la création d’un organisme politique, le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le GIEC, composé de fonctionnaires, de politiciens et de scientifiques. Sa mission est d’évaluer les recherches faites dans le monde en matière de climat. Il a rendu plusieurs rapports d’évaluation, de 1990 à 2023. On en tire des résumés à l’usage des politiques, que les médias résument eux-mêmes à leur manière. Avec toujours la même conclusion : chaque fois c’est pire. La machine à produire la peur tourne. Elle en est récompensée : en 2007, le GIEC a reçu le prix Nobel de la Paix avec Al Gore, l’homme qui voyait fondre la glace de l’Arctique dans son marc de café.
Un des fondateurs du GIEC fut Maurice Strong, homme d’affaires canadien socialiste, organisateur de la Conférence de Stockholm en 1972. Il a conseillé vingt ans les secrétaires généraux de l’ONU et reçu la plus haute distinction de l’Académie des sciences américaine sans avoir rédigé un seul article scientifique, avant d’être condamné pour corruption dans le programme Pétrole contre nourriture de l’ONU en Irak et de se réfugier en Chine. Ce type de profil n’est pas une exception. Jean Monnet, l’homme de la fusion France-Royaume-Uni, des accords Blum-Byrnes et de la première Communauté européenne, n’était pas seulement un agent américain, c’était un aventurier. Le manque de scrupules intellectuels et moraux est un atout dans une entreprise où la vérité scientifique (et d’ailleurs la réalité en général) compte moins que le bénéfice politique que l’on peut tirer de l’autorité de la science. Cette caste internationale de fonctionnaires de l’utopie arc-en-ciel mélange science et politique pour imposer ses mythes, ses vérités à cours forcés, mais ne perd pas de vue ses objectifs concrets.
Je vais citer brièvement à nouveau deux acteurs — témoins de très haut vol, parce qu’ils ils ont parfaitement vendu la mèche de la révolution en cours. Leur aveu est clair et précis. Ottmar Edenhofer joint à son statut d’ancien coprésident du GIEC et président de l’Institut Potsdam, laboratoire d’idées qui conseille l’Allemagne, l’Amérique et l’Europe en matière d’environnement, la particularité d’avoir aidé François à rédiger Laudato Si’. Répétons ce qu’il déclarait en 2010 : « Nous devons nous affranchir de l’illusion selon laquelle la politique internationale sur le climat serait une politique environnementale. Elle n’a quasiment plus rien à voir avec le traitement de questions comme la déforestation ou le trou d’ozone. Nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. » C’est clair. La peur que le ciel nous tombe sur la tête sert à organiser une péréquation socialiste des richesses de la planète. A piller le Nord au profit du Sud. Quant à la diplomate Christiana Figueres, fille et sœur de président du Costa Rica, patronne du PNUED, membre-type de la super caste mondiale, elle a organisé la COP 21 dont sont sortis les accords de Paris. Selon elle, « le processus global du changement climatique » vise « une transformation complète de la structure économique mondiale. […] Nous influençons les gouvernements, le secteur privé et la société civile pour réaliser la plus grande transformation jamais entreprise. » Il s’agit d’une chose comparable à « la Révolution industrielle », mais guidée « selon une perspective centralisée parce que les gouvernements ont décidé d’écouter la science […], elle va considérablement modifier la vie de chacun sur la planète. » […]
HANNIBAL.